Eneffet, nous avons préparé les solutions de CodyCross Les Danois la traversent pour aller en Angleterre. Ce jeu est développé par Fanatee Games, contient plein de niveaux. C’est la tant Dès le milieu du IXe siècle, la France de l'empire carolingien affaibli est la cible des raids vikings. De farouches guerriers venus de Scandinavie sèment la terreur sur les côtes de l'Europe du nord, et remontant les fleuves à bord de leurs célèbres embarcations, les drakkars, s'infiltrent jusqu'à l'intérieur des terres. Leurs cibles préférées les monastères, qu'ils pillent de leurs objets précieux avant de disparaître aussi vite qu'ils sont venus. Incapables de leur opposer une résistance efficace, les héritiers de Charlemagne finiront par les sédentariser sur ce qui deviendra la normandie... Du climat, des hommes et des événements Le 8 juin 793, le pillage du monastère de Lindisfarne en Ecosse marque le commencement d'une période longue de deux siècles, au cours de laquelle les Scandinaves - Danois, Suédois et Norvégiens - ne vont cesser de déferler sur les terres de l'Europe. Plusieurs causes à cette expansion ont été avancées - un réchauffement climatique qui, associé à la pratique de la polygamie, va entraîner en Scandinavie une explosion démographique liée à des récoltes et un élevage plus abondants ;- une législation en matière d'héritage qui ne partage pas les biens entre les descendants, mais laisse les biens paternels au seul aîné, obligeant ainsi les cadets à s'établir ailleurs et éventuellement à s'expatrier ;- une justice ignorant la peine de mort, mais bannissant les coupables ;- une recherche de débouchés commerciaux, une soif de richesse, l'envie d'un cadre de vie moins rude. Les routes maritimes suivies lors de cette expansion divergent en fonction des peuples scandinaves - L'est, en direction des pays baltes, est la direction privilégiée des Suédois. Par le biais des grands fleuves russes Dvina, Dniepr, Volga, ils vont jusqu'à la Mer Noire et la Mer Caspienne pour finir par atteindre le Bosphore et Constantinople. Les Scandinaves forment bientôt l'élite au pouvoir. Cette dynastie prend souche, aux environs de 860, avec le Varègue Riourik, appelé par les tributs slaves afin qu'il les gouverne. Vladimir le Grand est baptisé en 988. Anne de Kiev, sa petite fille, devient reine de France en épousant Henri Ier en 1050. Les empereurs byzantins recrutent parmi les guerriers suédois leur garde personnelle, la garde varangienne, du terme Varègues », qui désigne plus spécifiquement les Suédois partis vers l'Est tandis que le terme Vikings » désigne plus volontiers les Scandinaves partis vers l'ouest. - L'ouest et le sud-ouest sont la proie des Norvégiens et des Danois - les Vikings -. Les Norvégiens gagnent l'archipel écossais Shetland, Orcades, Hébrides, l'île de Man et l'Irlande. De là, certains descendent vers les côtes de Francie et d'Espagne, ils pénètrent en Méditerranée, puis ils vont vers les Féroé, l'Islande et le Groenland. Les Danois, quant à eux, traversent la Mer du Nord, gagnent l'Angleterre, puis les terres de Francie. Ils sont généralement mieux organisés et ce sont eux qui disposent des flottes les plus nombreuses. Le but de leurs expéditions est surtout lucratif, chaque guerrier danois visant avant tout à renforcer sa propre richesse et donc son pouvoir à son retour chez lui. C'est donc volontiers que les Danois acceptent de recevoir de fortes sommes les danegelds en échange de leur départ. L'expansion viking est usuellement divisée en trois grandes phases - La première phase s'étend environ de l'an 800 à l'an 850. C'est une période de tâtonnements durant laquelle les raids et pillages servent à tester l'adversaire. En Francie, la défense mise en place par Charlemagne et son fils Louis le Pieux permet de repousser les premières attaques. - La deuxième phase qui s'étend jusqu'à la fin du IXe siècle constitue pour les Scandinaves une période de consolidation et de réelle exploitation, d'une part de leurs acquis, d'autre part de l'absence d'opposition sérieuse à leur avancée. Les raids et les pillages prennent de l'ampleur, alors que commencent les premiers hivernages et apparaissent les danegelds paiement aux Danois, rançons versées aux Vikings en échange de leur départ. A cette seconde phase, succède une longue période de répit, d'installation et de colonisation dont un exemple important est l'installation en Normandie des Scandinaves menés par Rollon, suite au traité de Saint-Clair-sur-Epte en 911. - La troisième phase débute vers 980 et s'achève vers 1050. Son ampleur est plus faible. L'assimilation des Scandinaves sur les terres colonisées et la mise en place de pouvoirs centralisateurs en Scandinavie arrêtent progressivement le mouvement. Les vikings sèment la terreur Examinons la manière dont les raids Vikings sont perçus dans les pays abordés. Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il souffle, notamment en Francie, un véritable vent de terreur que les Scandinaves ne manquent pas d'exploiter et d'alimenter. Ce vent de terreur est notamment répandu par les religieux qui, compte tenu des richesses amassées dans les églises et les monastères, constituent des proies privilégiées. Il est renforcé par l'incapacité des autorités carolingiennes à s'opposer avec succès à l'assaillant. Un sentiment de totale impuissance face à ce fléau de Dieu, impuissance notamment illustrée par l'ajout au Notre Père, d'un a furore Normannorum, libera nos Domine ! , » découle rapidement de ce vent de terreur et fait que, bientôt, fuites, transferts de reliques et contritions sont de rigueur. Les Scandinaves, tout à la fois bras vengeur de Dieu et fils de Satan, sont alors nimbés d'une double aura, l'une fatidique, l'autre satanique, qui alimente aisément les exagérations tant sur leur nombre que sur leur férocité et va jusqu'à forger des images telles que celles des Vikings buvant le sang de leurs ennemis dans le crâne de ceux-ci. Le texte suivant, tiré du Commentaire des Lamentations de Jérémie de Paschase Radbert , illustre cet état d'esprit Qui aurait cru ce que nos yeux ont vu et fait l'objet de nos gémissements, qu'une troupe de pirates composée d'hommes ramassés au hasard fût venue jusqu'à Paris et eût détruit impunément les églises et les monastères des bords de la Seine. Qui aurait cru qu'un royaume si célèbre et si étendu et si peuplé eût été destiné à être humilié par des barbares ? Oui, tous nos malheurs sont venus à cause des péchés des prêtres et des princes, c'est là la source des calamités qui nous environnent. Il y a longtemps que la justice est bannie des jugements, que la discorde née parmi les citoyens d'un même empire fait répandre le sang. On ne voit partout que fraude et tromperie. L'épée des barbares est tirée du fourreau et c'est Dieu qui l'a mise dans leurs mains pour nous punir. Raids vikings sur le monde franc Ragnarr lobrók littéralement braies velues, surnom se rapportant aux culottes en peau de chèvre qu'il portait les poils au dehors, Björn járnsía côtes de fer, surnom dû à la cuirasse qu'il portait probablement pour se protéger, Hásteinn, Véland, voilà des Danois intrépides, des guerriers valeureux, sans nul doute hauts en couleur et redoutés sur toute la terre franque ! Ragnarr lobrók apparaît en Francie au printemps 845 où remontant la Seine, il lance une première attaque contre Paris sans rencontrer de résistance. Charles le Chauve, réfugié à l'abbaye de Saint-Denis, demeure impuissant et finit par verser à Ragnarr 7 000 livres d'argent afin qu'il parte. Dix années plus tard, en 856, c'est l'un de ses fils, Björn járnsía, secondé par Hásteinn, qui, de nouveau, attaque Paris, avant de mener une grande expédition sur les côtes méditerranéennes entre 859 et 861, expédition au cours de laquelle il passe le détroit de Gibraltar, pille Algésiras, la Murcie et les Baléares, puis Nîmes, Valence et Luna. En 858, Hásteinn s'aventure jusqu'à Chartres ; il pille la cathédrale et massacre l'évêque ainsi que tous ceux qui sont réfugiés dans l'église. Evreux est dévasté, Bayeux est attaqué et son évêque est lui aussi égorgé. En 861, Charles le Chauve paye le Danois Véland il vient de piller le monastère de Saint-Bertin afin qu'il déloge Hásteinn, Björn et leurs hommes de l'île de Jeufosse où ils ont établi leur campement. Véland reçoit d'abord 3 000 livres d'argent, puis encore 2 000 livres du roi Charles avant d'entreprendre effectivement le blocus de l'île, laissant une nouvelle fois Paris se faire attaquer. Finalement, il reçoit 6 000 autres livres d'argent des mains de Hásteinn et Björn afin qu'il les laisse fuir. Hásteinn et Björn s'en vont en 862 ; Véland, converti au christianisme, passe définitivement au service du roi Charles. Jusqu'en 866, Hásteinn séjourne en Aquitaine qu'il pille et attaque consciencieusement. En 866, il remonte la Loire et dévaste la ville du Mans. Poursuivis par le comte Robert le Fort, en charge d'un commandement contre les Vikings, par le comte Ramnulf Ier de Poitiers et le comte Hervé du Maine, ses hommes et lui trouvent refuge dans la petite église de Brissarthe, au nord d'Angers. Les Francs exténués par la route prennent imprudemment un moment de repos, c'est alors que les Danois en profitent pour se ruer hors de l'église. Le comte Robert le Fort rallie rapidement ses troupes et repousse les Danois, mais il tombe percé de coups devant la porte de l'église. Le comte de Poitiers et le comte du Maine sont également tués. En 872, Hásteinn attaque Angers, il quitte la Loire dix ans plus tard pour ravager la Flandre et le sud de l'Angleterre. De 879 à 891, les Danois sont sur l'Elbe, la Scheld, la Meuse, la Somme, la Seine, la Loire, ils attaquent Cologne, Paris, Bayeux, Soissons, Sens, Aix-la-Chapelle... En 881, le roi Louis III les bat à Saucourt-en-Vimeu au sud de l'embouchure de la Somme. En 882, Charles le Gros vient avec une forte armée composée de Francs, Alamans, Thuringiens, Saxons et Lombards assiéger les Danois dans leur camp fortifié d'Elsloo, non loin de Maastricht. Après douze jours d'attente, loin d'attaquer, Charles préfère soudain négocier. Il verse alors 2 800 livres d'argent aux Danois et permet même à Godfried, un de leurs chefs, de s'installer en Frise. En 884, le comte Henri de Saxe, fils d'un comte du pays de Fulda, responsable également d'un commandement contre les Vikings, empêche les Danois d'envahir la Saxe et chasse même ceux-ci de la vallée du Rhin, après l'assassinat de leur chef Godfried, rebellé contre l'empereur. Les forces en présence Le guerrier scandinave L'armement du Viking comprend la hache, une épée, une lance, un arc et des flèches, un couteau accroché à sa ceinture. Il porte pour se protéger un casque, une cotte de mailles et un bouclier. La hache de plusieurs types à fer large, à long manche, à cornes est une arme redoutable. C'est l'arme type du Viking. L'épée est longue, maniable à une seule main, à tranchant double. Elle est terminée par une poignée isolée de la lame par deux gardes parallèles. Il n'est pas certain qu'elle ait été de très bonne qualité - dans la Sturlunga saga, les combattants sont obligés de faire des pauses pour redresser sous leur talon la lame tordue de leur arme -, ce qui poussait sans doute les Vikings à convoiter les épées franques. La lance est soit une arme de jet javelot, soit une arme d'estoc épieu que l'usage des étriers permet d'utiliser avec force. Le fer, en forme de losange, est fixé au manche par des clous qui ont une valeur religieuse et juridique. Le casque est conique et prolongé par un nasal ; il comporte également un gorgerin et des protège-joues. Le bouclier est rond, fait de bois recouvert de métal peint. La cotte de mailles est soit une cotte à anneaux, du type broigne, soit une cotte de plaques de métal reliées les unes aux Vikings sont maîtres du coup de main strandhögg et combattent plus volontiers à pied. Leur technique préférée d'attaque est la suivante avec leurs bateaux, ils s'installent dans une petite île bien placée, non loin d'une riche ville ou d'une opulente abbaye. Le moment propice venu, ils débarquent très rapidement en utilisant pour cela les chevaux amenés, et ils se précipitent sur leur cible qu'ils pillent rapidement, sans dédaigner d'emporter des esclaves. Puis, ils mettent le feu avant de s'en aller, rendant ainsi difficile toute volonté de poursuite. Le guerrier franc De par son armement offensif et défensif, le guerrier franc est assez semblable à son homologue scandinave, si ce n'est que la hache n'est pas son arme favorite, mais bien plutôt l'épée. L'épée, dont la poignée et le fourreau sont souvent richement décorés, est la fierté du guerrier franc. Il l'a généralement reçue de son père à l'âge de la puberté. Il lui donne souvent un nom ainsi Joyeuse, l'épée de Charlemagne ou encore Durendal, l'épée de Roland. C'est ici une arme de grande qualité qui, avec la broigne, forme dans l'équipement du guerrier franc deux éléments de valeur exceptionnelle. L'une et l'autre sont très recherchées et de nombreux capitulaires en interdisent l'exportation si bien que les marchands en font de la contrebande. Les Scandinaves en font volontiers l'acquisition et ils ne dédaignent pas en dépouiller leurs victimes. Le cheval est un autre élément important du guerrier franc, un compagnon qu'il abandonnera difficilement. Fais périr ma mère, je n'en ai cure, s'écrie un guerrier aquitain à un Sarrasin, le cheval que tu me demandes, jamais je ne te le livrerai. Misérable, il n'est pas fait pour ton frein. » Tout citoyen de l'empire, tout homme libre, est astreint au service militaire et doit répondre aux convocations militaires du comte ou du roi. L'armée carolingienne est sans doute pour une bonne partie composée de fantassins, de combattants armés légèrement, car l'équipement du cavalier - cheval, casque, broigne, épée, jambières de cuir, bouclier, lance, poignard, arc et flèches - est coûteux. De fait, la cavalerie carolingienne est aux mains de l'aristocratie franque. Cette cavalerie lourde est cependant la reine des batailles et elle est réputée pour tout faucher sur son passage. Le jeune aristocrate se destine à la guerre dès sa petite enfance. Il apprend à monter à cheval, à endurer la dureté et l'adversité, la faim, le froid, la chaleur du soleil. Un proverbe dit Celui qui ne peut être cavalier à l'âge de la puberté ne le pourra jamais ou avec difficulté à un âge plus avancé. » Ou encore Qui sans monter à cheval est jusqu'à douze ans resté à l'école, n'est plus bon qu'à faire un prêtre. »... Les succès scandinaves Le premier atout des Vikings, le plus important, est leur bateau. Il est rapide, excessivement maniable, avec un fond plat permettant d'aborder aisément et de remonter les rivières. Il permet ainsi aux Vikings d'être extrêmement mobiles et de choisir librement leurs points d'attaque. Partout, donc, ils surviennent à l'improviste et d'autant plus rapidement qu'ils se déplacent par voie d'eau. La cavalerie franque, incapable de prévoir leurs points d'attaques, ne peut se concentrer et elle ne peut pas non plus les suivre, du fait de la vitesse de leurs déplacements. De toute façon, les Vikings évitent soigneusement les rencontres en rase campagne avec l'armée franque. S'ils ne peuvent éviter celle-ci, ils se retranchent dans un comportement défensif et jouer sur le moral de leurs adversaires. La politique de défense fortifiée amorcée par Charles le Chauve Capitulaires de Pitres, 862 va peu à peu remettre en cause cette mobilité des Scandinaves insensiblement, l'érection de barrages sur les rivières, de ponts fortifiés, de fortifications diverses, de palissades complétées de fossés autour des villes et des monastères va contraindre les Scandinaves d'une part à abandonner leurs bateaux pour s'aventurer à cheval, d'autre part à se livrer à de longues et statiques opérations de siège. Bibliographie • Boyer Régis, La vie quotidienne des Vikings 800-1050, Editions Hachette, 2003.• Boyer Régis, Les Vikings, Editions Plon, 1992.• Renaud Jean, Les Vikings en France, Editions Ouest France.
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Les nouveaux barbares » Aux VIIIe, IX et Xe s. commence la seconde grande vague d’ invasions barbares » après les Ostrogoths, les Wisigoths, les Lombards, les Burgondes, les Francs, les Vandales, Les Angles, les Jutes, les Saxons et tant d’autres, c’est au tour des Sarrasins, des Scandinaves, des Magyars et des Bulgares de mettre à mal l’Occident et d’en bouleverser l’ordre établi. La première vague “barbare” était venue ébranler les fondations de l’Empire Roman d’Occident, dont la chute, en 476, marque traditionnellement la transition entre l’Antiquité et le Moyen-Age. La seconde vient ravager la Chrétienté fraîchement établie dans ce qui deviendra, bien, plus tard, le continent européen. Ce sont les nouveaux barbares » de l’Occident. La première vague s’est installée, a fondé des royaumes et s’est quasiment intégralement christianisée et fondue aux populations locales. Les nouveaux mouvements migratoires, bien souvent belliqueux, viennent donc de nouveau perturber un équilibre à peine retrouvé. Tandis que les Sarrasins ou Maures s’emparent de la Méditerranée et que les Magyars et Bulgares s’acharnent sur l’Europe centrale et orientale, les Vikings déferlent depuis le nord comme une cascade sanguinaire ils longent les côtes, remontent les fleuves, traversent les mers et frappent tout l’Occident, de l’Irlande à la Volga et de la mer Baltique à la mer Rouge. Ils pénètrent les terres, portent leurs bateaux quand il le faut, remontent les cours d’eau, les rivières, les lacs ; ils assiègent, pillent et repartent. Zoom sur les Vikings Le but de cet article est de donner un aperçu global des déplacements, des invasions et des mouvements vikings et non d’en analyser la culture – pour cela, je vous renvoie à tous les bonus que je propose en complément de mon roman L’amour, la mer, le fer et le sang, dans l’article “bonus” correspondant afin de parvenir à les appréhender dans leur formidable ensemble. Je me concentrerai ensuite, pour cette fois, sur les conquêtes, flux et voyages plus particulièrement danois, le héros de mon roman étant issu de ce peuple. La prochaine fois, je vous parlerai probablement plus en détail des Norvégiens edit voir ma Petite Histoire des Vikings – 2 les Norvégiens et ma Petite Histoire de l’Islande, puisque c’est dans la Norvège médiévale que j’ai l’intention de placer l’une de mes prochaines intrigues romanesques edit octobre 2019 voir mon roman Comme une aurore dans la brume… Et je n’exclus pas non plus la possibilité d’un futur scénario en pays slave, mettant en scène des Suédois, ce qui me donnerait aussi l’occasion d’aborder plus en détail les mouvements de ce 3e peuple ! Petit panoramique des grandes expéditions vikings En ultra-résumé chacun des 3 peuples du Nord conduit ses expéditions en fonction de sa zone géographique d’origine les Norvégiens se sont tournés vers l’ouest et le nord ils ont colonisé toutes les îles écossaises Shetland, Orcades, Hébrides mon roman Shaena se déroule dans les Orcades norvégiennes du XIIIe s. – les archipels du nord resteront aux mains des Vikings pendant 6 siècles ! les côtes nord et ouest de l’Ecosse le Galloway l’Irlande les îles de la mer d’Irlande comme l’île de Man les îles Féroé l’Islande voir ma Petite Histoire de l’Islande le Groenland et même touché le Canada actuel Terre-Neuve, Labrador… avant de se faire refouler très rapidement par les autochtones, semble-t-il Pour plus de détails, c’est ici mon article Petite Histoire des Vikings – 2 les Norvégiens les Danois se sont concentrés vers l’ouest et le sud les rives flamandes et frisonnes nord-ouest de l’Allemagne actuelle et Pays-Bas actuels, tout près d’eux les royaumes d’Angleterre Northumbrie, Wessex, Mercie, Est-Anglie, Sussex, Essex, Kent…, tout près d’eux également… la Francie, ses côtes et ses fleuves puis, en descendant le long du Golfe de Gascogne, la péninsule ibérique et Al-Andalus… la Provence les côtes italiennes le nord de l’Afrique la Sicile, via leur descendants Normands C’est tout naturellement que les Suédois, ou Varègues ou encore Rus » = roux » comme les slaves les nommaient se seront tournés vers l’est de la mer Baltique, les pays baltes la Volga le Dniepr et les contrées slaves jusqu’à Byzance, la mer Noire, la mer Caspienne et la mer Rouge. Ils fondèrent les principautés de Kiev et de Novgorod et la Russie leur doit son nom ! Les 3 peuples mènent leurs raids et incursions en parallèle. Les Danois Dès avant 700, donc bien avant l’ère viking » proprement dite 793-1066, du sac de Lindisfarne à la conquête de l’Angleterre par Guillaume de Normandie, alias Guillaume le Conquérant, les Norvégiens se seraient implantés dans les Orcades et les Hébrides tandis que les Varègues explorent les terres slaves. Ils continueront ensuite leurs expéditions respectives au cours des siècles suivants. Mais en ce qui concerne les Danois, c’est aux IXe et Xe siècles qu’ils sont les plus virulents et se déchaînent sur les côtes franques et anglo-saxonnes, en particulier. NB autant le dire tout de suite quelques clans suédois et norvégiens ont aussi, à l’occasion, sillonné la mer du Nord, touché les rivages de l’ouest du continent européen et fait des incursions en Méditerranée… Tout n’est pas strictement compartimenté et les 3 peuples ne se sont pas ouvertement partagé l’Europe ! Je parle ici des grandes tendances que l’on connaît les Norvégiens se sont concentrés sur le nord-ouest, les Suédois sur le sud-est, et les Danois sur le sud et l’ouest. Mais quelques clans et félags suédois et norvégiens se sont joints à ces derniers ou ont parfois fait leurs propres expéditions sur les mêmes rivages, tout en restant minoritaires dans ces contrées harcelées par les Danois. D’abord, la Francie Durant toute la première moitié du IXe siècle, et jusqu’en 860 environ, ils se concentrent sur la Francie ce qui ne les empêche pas de mener un petit raid ou deux, ici ou là, en Grande-Bretagne, tandis que les Norvégiens s’acharnent sur l’Ecosse et l’Irlande chaque année ou presque, ils viennent remonter les grands fleuves francs. Rappelons qu’à l’époque, la Francie dans son ensemble désigne l’ancien empire de Charlemagne, démembré en 843 entre ses petits-fils par le traité de Verdun il existe alors la Francie Occidentale l’essentiel de la France actuelle, aux mains de Charles le Chauve, la Francie Orientale ou Germanie, l’essentiel de l’Allemagne actuelle, aux mains de Louis le Germanique et la Francie Médiane ou Lotharingie, au milieu, aux mains de… Lothaire, évidemment et où se trouve Aix-la-Chapelle, au passage. Les 3 Francie » sont frappées mais on se doute que c’est la Francie occidentale qui est la plus touchée beaucoup plus de littoraux, et les Vikings se déplacent en bateau, le long des côtes et des fleuves, et non pas à pied par voie continentale, comme les Barbares de la première vague. Comme je le mentionne dans L’amour, la mer, le fer et le sang, on peut dire, je pense, que pas une grande ville, pas une abbaye/collégiale/monastère monts Saint-Michel, Saint-Philibert, Jumièges, Saint-Wandrille, Saint-Bavon, Saint-Fromond etc, pas une île Ré, Oléron, Noirmoutier…, pas un fleuve Meuse, Seine, Loire, Escaut, Rhin, Garonne, Rhône… ne sont épargnés. De 840 à 860, c’est un enchaînement permanent de sacs, d’incendies, de sièges et de raids. On remarquera le lien étroit entre l’accélération des raids danois et la fragilité de la Francie carolingienne due aux dissensions dynastiques entre ses descendants cristallisées en 843 par le traité susmentionné et donc à la décadence politique de l’empire franc Nantes, Paris de nombreuses fois, Toulouse, Bordeaux, Saintes, Tours, Rouen, Anvers, Auch, Clermont, Périgueux, Narbonne, Nîmes… Je ne vous refais pas l’article, je cite tout dans le roman en note de bas de page, pour votre plus grand supplice ! ^^ A noter tout de même ces attaques ont été de types différents et ont évolué au fil des décennies Tout d’abord, des raids rapides visant des lieux proches des rivages, des endroits riches et peu défendus type des monastères et abbayes, mais aussi des villages sans défense Puis les Vikings commencent à remonter les fleuves, mais visent toujours les villes et lieux mal défendus et faciles à piller de espions et éclaireurs leur préparent le terrain en amont Des groupes plus nombreux pénètrent de plus en plus profondément dans les terres et commencent à capturer des nobles, à les rançonner et embarquent les plus pauvres comme esclaves Ils se mettent ensuite à hiverner sur place, créer des camps, construire des fortins, passer un hiver, voire deux, sur place, avant de repartir… Enfin, ils se mettent à vouloir conquérir des territoires – et c’est là que la résistance franque va véritablement se mettre en place Un petit tour au sud De 859 à 861, les Danois mènent une incursion en Méditerranée ils contournent l’Espagne et ne manquent pas de ravager quelques » villes au passage, passent Gibraltar, touchent la Camargue, puis atteignent l’Italie et le nord de l’Afrique avant de rentrer cf. le listing de ces villes que je fais dans mon roman en note de bas de page. Ça se corse en Francie Enfin, Charles le Chauve, débarrassé de son frère Lothaire son plus proche voisin, entreprend de fortifier son royaume c’est le début du système féodal, des seigneurs locaux et de la hiérarchie nobiliaire le roi délègue une partie du pouvoir militaire à des chefs de guerre premiers aristocrates à qui il donne des fiefs en échange de leur défense assidue contre les raids vikings. Le roi fait élever des châteaux et des ponts fortifiés dans les secteurs régulièrement mis à sac. Les Danois, opportunistes, se désintéressent de la Francie et se tournent alors vers l’Angleterre. Et c’est là que mon roman commence !^^ Sus aux Anglo-saxons ! 865 une grande armée païenne envahit l’Est-Anglie, puis la Northumbrie, la Mercie, et regroupe en quelques années toute la partie est de l’Angleterre actuelle sous la loi danoise un royaume est fondé c’est le Danelaw ». Contexte vous ferai-je offense en le rappelant ? de mon roman. Comme je le mentionne dans mon article Les coulisses » de ce roman, j’ai condensé sur un été des faits qui ont en réalité pris 10-15 ans ! A noter à la même période entre 860 et 880, les Norvégiens découvrent l’Islande où quelques moines irlandais s’étaient déjà isolés et fondent Reykjavik, tandis que les Varègues poussent leurs raids jusqu’en Perse !!! C’est reparti côté Francie ! Dès 880, les Vikings, apprenant la mort de Charles le Chauve en France, et rencontrant par ailleurs une opposition farouche en Angleterre après 15 ans de conquêtes plutôt faciles par le roi du Wessex, Alfred le Grand, se détournent de l’Angleterre et retournent en Francie Seine, Picardie, Bourgogne, Vermandois, Loire, Neustrie… De nouvelles villes tombent Aras, Cambrai, Courtrai, Amiens, Liège, Aix-la-Chapelle, Paris pour la 4e fois lors d’un gigantesque siège 700 navires danois remontent la Seine pour l’occasion… … si bien qu’en 911, date importante dans l’Histoire de France, par le traité de St-Clair-sur-Epte, le chef normand Rollon reçoit de Charles le Simple les comtés de Rouen, d’Evreux et de Lisieux. Il se fait baptiser et devient le premier duc de Normandie. Guillaume le Conquérant sera l’un de ses descendants… et donc d’origine viking ! Les Normands se tournent alors vers la Bretagne et les batailles font rage entre Normands et Bretons de 919 à 939. Oh et puis non, on retourne en Angleterre Pendant ce temps-là, outre-Manche, les Danois d’Angleterre » sont malmenés par Alfred le Grand roi du Wessex puis premier roi des anglo-saxons », puis son successeur, Edouard l’Ancien, puis Æthelstan premier à se dire roi des Anglais » ou roi de toute la Grande-Bretagne », Edmond Ier, Eadred, Eadwig, Edgar, Edouard le martyr. Les Vikings maintiennent tant bien que mal le royaume du Danelaw en place – succession de défaites et de victoires du règne d’Alfred 871-899 à celui d’Edouard 971-978. Un siècle, 8 rois anglais. Ça donne une idée de l’ambiance. En 991, Æthelred le Malavisé son surnom laisse présager la suite, face à une nouvelle invasion danoise, doit leur payer un danegeld tribut. En 1013, Sven, roi de Danemark, dont le royaume a peu a peu été unifié et s’est mis à dominer la Norvège à partir de 950 règne d’Harald à la dent bleue qui entreprend l’unification du Danemark et la conquête de la Norvège – oui parce qu’il ne faut pas croire que, sous prétexte qu’on est occupé à l’est, au sud ou à l’ouest, on ne peut pas faire la guerre aussi chez soi, entre voisins ! envahit de nouveau l’Angleterre. Il est reconnu roi du Danelaw et s’empare de Londres. Son fils Knut le Grand est choisi pour roi par les troupes danoises d’Angleterre et épouse… la veuve du feu roi anglais, mort sous les coups de Sven ! Il poursuit la bataille en Angleterre pendant que son frère, Harald, hérite du royaume du Danemark. Mais lorsque ce dernier meurt, Knut hérite à son tour de ce royaume. Il est bientôt roi du Danemark, de Norvège… et d’Angleterre ! oui, ça a bien eu lieu ! Mais à sa mort en 1035, son empire est disloqué l’Histoire semble souvent se répéter, vous ne trouvez pas ?. L’opposition entre la maison de Jelling rois danois, lignée d’Harald à la dent bleue, de Sven, de Knut… et la maison de Wessex rois anglais pour le trône d’Angleterre trouve finalement une fin avec le débarquement du Normand Guillaume qui conquiert l’Angleterre en 1066. Je vous passe les détails de cette période très troublée car, de 1013 invasion de l’Angleterre par Sven à l’arrivée de Guillaume, qui prend le pouvoir en 1066, on a 50 années extrêmement troubles où la dynastie de Jelling et celle de Wessex se déchirent pour le trône d’Angleterre. Ceci peut se résumer de la façon suivante sur le trône d’Angleterre, nous avons De 924 à 1013, donc d’ Æthelstan à Æthelred le Malavisé la maison de Wessex. NB date de départ 924 car c’est la première fois qu’un roi du Wessex prend le titre de roi des Anglais », donc qu’on peut parler de trône » ou de royaume » d’Angleterre – ou plutôt, à l’époque, des Anglais ». Mais avant cela, nous avons bien sûr bien d’autres ascendants de la maison Wessex Alfred, tout ça… ! Ils sont alors uniquement à la tête du Wessex et du sud de l’Angleterre et non héritiers du trône d’Angleterre » et investis de la mission de bouter les Danois hors du pays. La conscience nationale anglaise émerge avec les hostilités vikings à répétition et la volonté de s’unir contre l’envahisseur… De 1013 à 1014 maison de Jelling Règne de Sven, très court, en Angleterre il a à peine le temps de s’imposer comme roi des Anglais en plus d’être roi du Danemark et de Norvège, on l’a vu, qu’il meurt. De 1014 à 1016 maison de Wessex Æthelred le Malavisé qui n’est pas mort mais a fui devant Sven ! essaie de profiter de sa mort pour être restauré. Mais il meurt sous les coups de Knut, le fils de Sven, dès 1016… Quant à son fils, Edmond, il ne règne que quelques mois d’avril à novembre 1016, avant de mourir à son tour. De 1016 à 1042 maison de Jelling Knut, fils de Sven, règne sur la totalité de l’Angleterre à la mort d’Edmond. Il hérite ensuite des royaumes de Danemark et de Norvège. Ses deux fils Harold et Hardeknut lui succèdent non sans s’être tiré dans les pattes mutuellement… je passe… De 1042 à 1066 maison de Wessex Elle profite de ce que Hardeknut meurt sans descendance pour reprendre le pouvoir. On a successivement les règnes d’Edouard le Confesseur fils d’Æthelred le Malavisé, puis d’Harold Godwinson, son beau-frère. Et c’est là que ça se corse si vous vous y connaissez un peu en matière de droits de succession dynastiques, j’entends !, vous me direz mais qu’est-ce qu’un beau-frère vient hériter d’un royaume ? Et c’est là que le bât blesse si le dernier roi de la maison Wessex est dit le Confesseur », on se doute qu’il est mort sans héritier. Résultat classique une crise de succession. Pour faire simple chacun a des arguments pour revendiquer le trône d’Angleterre Harold Godwinson, comte de Wessex et beau-frère du défunt, élu par les nobles anglais ; Guillaume de Normandie, petit-cousin d’Edouard le Confesseur mais oui ! puisque son grand-père était le frère de la mère d’Edouard, 2e épouse d’ Æthelred, voyons ! et héritier désigné par celui-ci selon ses dires… ; et même Harald Hardrada, roi de Norvège, qui avance qu’un accord avait été conclu au niveau de la génération antérieure celle d’Hardeknut, le désignant comme successeur si Hardeknut mourait sans héritier… Bref ! Je m’emballe, mais ceci n’est pas un article sur la conquête de l’Angleterre par Guillaume ! Si vous voulez tout savoir, voici l’article de Wiki sur le sujet accrochez-vous, mais connaître tous les tenants et les aboutissants en vaut la peine ! Pour comprendre tout ça aussi rien de tel qu’un petit coup de généalogie et d’enchaînement des dynasties Vous me croyez si je vous dis que c’est le genre de trucs que je peux passer des heures à décortiquer et à analyser pour comprendre l’enchaînement des successions et alliances ? ^^ En attendant, sachez juste qu’après avoir essuyé une tentative d’invasion de la part du roi de Norvège Harald Hardrada, Harold Godwinson trace au sud et tente également de refouler les Normands de Guillaume qui déferlent depuis la Manche cf. la tapisserie de Bayeux. L’enchevêtrement des faits et fort compliqué dans la réalité, mais le résultat, on le connaît Hastings, 1066, victoire de Guillaume, Harold est tué. Conséquence de 1066 à 1154 maison de Normandie Pour l’anecdote 1154 date d’une autre crise de succession ; d’une autre guerre plus ou moins civile » ; et de l’arrivée d’une autre grande famille noble de France les Plantagenêt. Mais je me disperse !!! Et je vous ai passé d’autres trucs tordus sur cette période… disons… pour le moins… agitée ». Par exemple le fait que Hardeknut fils de Knut, maison de Jelling et Edouard le Confesseur fils d’Æthelred le Malavisé, maison de Wessex avaient la même mère… ben oui, puisque je vous ai dit que Knut avait eu l’idée saugrenue d’épouser Emma, la veuve de son rival Æthelred, mort durant l’invasion de Knut ! Faut suivre !! ^^ C’est d’ailleurs cette même Emma, sœur de Richard II de Normandie grand-père de Guillaume le Conquérant, qui fera, par ses liens de sang, de Guillaume le petit-cousin d’Edouard ! Ça y est, je vous ai perdus ? Et ce n’est qu’une des milliers de petites anecdotes aussi casse-tête que jubilatoires dont regorge l’Histoire ! Bon ! Fini mes bêtises. TOUT CELA POUR DIRE QUE Après des allers-retours réguliers entre côtes franques et rivages anglo-saxons, et même une incursion en Méditerranée, au cours de 2 siècles et demi d’invasions et de pillages, le dernier raid danois en Angleterre date de 1074 il aura bien fallu 10 ans à Guillaume pour asseoir son autorité sa conquête de l’Angleterre et la stabilisation de son pouvoir durent d’environ 1066 à 1075. Côté Francie, le dernier raid scandinave a pour sa part eu lieu autour de 1015. Globalement, d’ailleurs, c’est au XIe s. que l’ère viking s’achève ça dure un chouïa plus en Irlande et en Ecosse. En effet, passé l’an Mil, la Scandinavie finit par être christianisée et divisée en 3 royaumes distincts et centralisés Le Danemark, La Suède et la Norvège. C’est la fin des raids et des expéditions d’exploration… … mais des guerres entre voisins, certes non ! Ces 3 royaumes n’auront de cesse de chercher à s’assujettir et se conquérir les uns les autres… jusqu’au XXe s. ! Pour aller + loin à voir, à lire… Mon roman “L’amour, la mer, le fer et le sang” disponible sur Amazon Toutes les vidéos/musiques/reportages/documentaires/séries de mon article Bonus » de L’amour, la mer, le fer et le sang, à consulter ici. Toutes les cartes géographiques et explications de mon article Le dessous des cartes de L’amour, la mer, le fer et le sang, à consulter ici Mon article-zoom sur l’Histoire des Norvégiens, cette fois ! Ici Petite Histoire des Vikings – 2 les Norvégiens Toujours sur les Scandinaves, ma Petite Histoire de l’Islande Mon 2e roman historique sur les vikings, Comme une aurore dans la brume Cette vidéo-synthèse concernant le devenir de ces 3 royaumes, justement Une vidéo de synthèse super pédagogique, claire et organisée ! sur l’Histoire des Vikings Ces articles Wikipédia 1 – Articles généraux sur les Vikings, leur culture et leurs grandes expéditions Les Vikings L’Age des Vikings Chronologie des invasions vikings Une autre chronologie des Vikings 2 – Les Vikings en France Les raids vikings en France + les sous-articles sur les batailles, sièges et sacs les plus notoires proposés à la fin de cet article généraliste 3 – Les Vikings et l’Angleterre médiévale une épopée longue de 2 siècles dont le tout début sert de cadre à mon roman Les raids vikings en Angleterre Le Danelaw L’histoire de l’Angleterre jusqu’à Guillaume La conquête normande de l’Angleterre par Guillaume déjà mentionné au cours de l’article Texte © Aurélie Depraz Source images Pixabay Tagged Danois, Histoire, historique, Moyen-âge, Viking

KimVilfort est l'un des héros emblématiques du Danemark champion d'Europe en 1992. Lui, qui était totalement inconnu du public avant la compétition, va crever l'écran en finale face à l'Allemagne. Cet été là, marqué par le traité de Maastricht, cette sélection danoise va réaliser le plus grand exploit footballistique de son histoire.

L'Angleterre est un pays du Royaume-Uni, facilement accessible par ferry depuis l'Europe continentale, via la mer du Nord et la Manche. Sa capitale historique, Londres, a de quoi susciter l'admiration, avec ses nombreux monuments et sites emblématiques qui attirent chaque année plus de 40 millions de visiteurs venus de France, d'Espagne, href=" Pays-Bas et des îles anglo-normandes. Comme le territoire anglais occupe plus de la moitié de la Grande-Bretagne, il constitue une porte d'entrée idéale pour les voyageurs et il compte de nombreux ports de ferry sur ses côtes, notamment Douvres, Portsmouth, Poole, Plymouth et Liverpool. L'Eurotunnel assure également une liaison directe avec la France, de Calais à Folkestone. Cinq grandes compagnies de ferries proposent des traversées vers et depuis l'Angleterre, tout au long de l'année. DFDS Seaways propose jusqu'à 30 traversées quotidiennes, P&O Ferries jusqu'à 20 traversées quotidiennes, Brittany Ferries jusqu'à 8 traversées quotidiennes, Irish Ferries jusqu'à 14 traversées quotidiennes et Condor Ferries jusqu'à 8 traversées quotidiennes. Calais - Douvres est la traversée la plus rapide vers l'Angleterre. DFDS Seaways, Irish Ferries et P&O Ferries effectuent ce trajet en 1 heure et 30 minutes. Top 5 des traversées de ferry vers l'Angleterre Calais - Douvres Cherbourg - Poole Dieppe - Newhaven Santander - Portsmouth Dunkerque - Douvres Installations à bord Réservez un ferry vers l'Angleterre auprès de Direct Ferries et voyagez dans un confort optimal. Profitez d'installations modernes à bord des restaurants, des boutiques duty-free, des cafétérias, des bars et des terrasses extérieures sont à votre disposition. Les passagers voyageant sur les traversées plus longues, entre l'Angleterre et l'Espagne ou les Pays-Bas peuvent profiter d'un large choix de cabines. Naviguer avec votre voiture, vers l'Angleterre DFDS Seaways, P&O Ferries et Irish Ferries acceptent les voitures sur la plupart de leurs traversées en ferry vers l'Angleterre. Cependant, nous vous conseillons de vous assurer de la disponibilité pour votre véhicule en réservant votre billet de ferry à l'avance. Prix d'une traversée en ferry vers l'Angleterre Les tarifs d'une traversée en ferry vers l'Angleterre peuvent varier en fonction de la saison à laquelle vous choisissez de voyager. N'oubliez pas que les prix sont généralement plus élevés pendant l'été, du fait de l'augmentation de la demande. Toutefois, vous pourrez toujours trouver les meilleures promotions sur notre page Offres Spéciales
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Kringla heimsins, sú er mannfolyt byggir. C’est l’incipit de Heimskringla, la saga des rois de Norvège composée au 13e siècle. Écrite en vieux norrois la langue qu’on parlait en Scandinavie au Moyen-Âge, cette phrase signifie L’orbe du monde, que l’humanité habite. » Rédigée par Snorri Sturluson, un chroniqueur islandais, Heimskringla est un témoignage important sur les Vikings qui ont tenu l’Europe en servitude du 8e au 11e siècle. Le commerce et les rafles les ont menés par-delà les horizons de cet orbe » ils ont navigué jusqu’en Grande-Bretagne, puis jusqu’au Groenland, et ils ont fini par atteindre l’Amérique du Nord. Tristement célèbres pour leur brutalité, les Vikings étaient aussi d’excellents navigateurs. Cela leur a permis de parcourir les rivières européennes et le littoral Atlantique mais aussi de s’aventurer au sud de leur terre natale et d’arriver en Méditerranée Cette grande mer qui s’ouvre du détroit de Gibraltar jusqu’au pays de Jérusalem », pour reprendre les termes de Snorru Sturluson. Cette miniature tirée d’une œuvre du 12e siècle sur Edmond le Martyr représente une flotte viking prête à s’abattre sur l’Angleterre. On peut désormais l’admirer au Morgan Library and Museum, à New traces de leur présence en Angleterre, en Irlande et en Russie sont nombreuses. On sait également que leurs routes commerciales allaient jusqu’à l’actuelle Istanbul, et même jusqu’au Serkland », c’est-à-dire Bagdad. Leur incursion méditerranéenne est en revanche bien plus vague. Selon le peu de sources que nous avons à notre disposition, cette incursion a pris la forme d’un voyage remarquable et audacieux mené par un capitaine dur à cuire qui aurait terrorisé l’Espagne musulmane, la France et l’Italie. Il a vraisemblablement ensuite envoyé ses navires vers le sud dans le but ultime de piller ce qui devait ressembler à une prise tout à fait alléchante la ville de Rome. LES NORDIQUES DÉBARQUENT À la fin du 8e siècle, les groupes de paysans qui peuplaient le Danemark, la Norvège et la Suède étaient en surnombre. Cela les a poussés à s’étendre et à aller s’emparer de biens. Dans les siècles qui ont suivi, les Scandinaves se sont servis de leurs drakkars pour perpétrer des rafles mais aussi pour établir des routes commerciales étendues. Bien qu’on les appelle Vikings », eux-mêmes ne se désignaient pas ce nom qui signifierait pirate » ou habitant de la baie ». Ils ne se voyaient de toute façon probablement pas comme un peuple unifié. On affirme souvent que l’ère des Vikings a débuté en 793, l’année d’un raid sur un groupe chrétien opulent de Lindisfarne, dans le nord-est de l’Angleterre. Au cours des décennies qui ont suivi, les Vikings ont établi un comptoir commercial en Irlande. Les raids ultérieurs contre les royaumes anglo-saxons d’Angleterre ont vu les Vikings s’installer dans certaines régions du nord-est de l’Angleterre, tout autour de la cité romaine fortifiée d’Eboracum, que les Vikings appelaient Jorvik York. Une copie de drakkar traverse Sognefjorden, fjord le plus profond et le plus long de Norvège. À force d’évoluer dans ce cadre dominé par l’eau, les Vikings de la péninsule scandinave sont devenus d’excellents constructeurs de bateaux et des navigateurs hors DE Alamy, ACIEntre-temps, les Nordiques avaient aussi essaimé vers l’est et établi des comptoirs commerciaux en Russie, pays qui doit son nom aux Rus, une tribu viking. Les Vikings ont descendu la Volga et le Dniepr pour atteindre la mer Caspienne et, de là, aller faire commerce avec Bagdad. Ces pillards infatigables se sont également tournés vers le sud et vers les territoires de Charlemagne. À la mort de l’Empereur en 814, la France, la Belgique, le nord de l’Espagne, l’ouest de l’Allemagne et l’Autriche se sont rapidement affaiblis et divisés. Les Vikings ont vu là une bonne occasion ; pour eux, la France était un butin de grande valeur. En 843, les Vikings se sont emparés de Noirmoutier et en ont fait une base arrière pour lancer leurs attaques sur le continent. En 845, des drakkars ont remonté la Seine, mettant à sac plusieurs villes sur leur passage, et sont entrés dans Paris. Le petit-fils de Charlemagne, Charles le Chauve a alors eu une réaction qui devait se répéter chaque fois qu’il faudrait traiter avec les Vikings à nouveau il les a payés pour qu’ils s’en aillent. LE VOYAGE VERS ROME Mais cela n’a pas empêché le fléau viking de s’abattre ailleurs. Petit à petit, les Nordiques se sont implantés en Normandie région qui leur doit d’ailleurs son nom. Il est possible qu’il se soient ennuyés en France et qu’ils aient décidé d’aller voir ce qui se passait au sud, car en 859 ils ont mis les voiles vers la Méditerranée. Les historiens s’appuient sur quatre sources principales pour documenter ce voyage réalisé sous l’égide de Björn Járnsía, ou Björn Côtes-de-Fer, surnommé ainsi à cause de réputation d’homme invincible. Avant son incursion méditerranéenne, il avait déjà à son palmarès un fait d'arme terrifiant le sac de Paris, vers 857. Les chroniques décrivent comment en 859 Björn Côtes-de-Fer et un autre chef, Hásteinn, ont fait cause commune pour franchir le littoral Atlantique au niveau de la péninsule ibérique, alors sous contrôle de la dynastie Omeyyade. Mais ils n’étaient pas les premiers Vikings à s’aventurer si loin vers le sud ; certaines sources font mention d’un raid viking à Séville en 844. Prenant la suite de ce premier voyage, l’équipage de Björn a mis des villes à sac sur les côtes portugaises. La flotte a ensuite traversé le détroit de Gibraltar. C’est peut-être ainsi que les tout premiers Vikings sont entrés en Méditerranée. Ils ont alors brûlé la mosquée d’Algésiras ; puis ils se sont dirigés vers le sud-est de la péninsule ibérique. Après un détour par l’Afrique du Nord pour récupérer des esclaves chez les hommes bleus » nom que les Vikings donnaient aux Africains, ils ont pillé la côte sud-est de l’Espagne ainsi que les îles Baléares. Ils ont ensuite traversé la Méditerranée en direction du nord et ont débarqué dans le Roussillon, dans le sud-est de la France. Ils ont ensuite établi un camp en Camargue dans lequel ils ont passé l’hiver et accumulé les butins volés. Ce manuscrit français enluminé date de l’an 1100 environ et représente le débarquement de guerriers vikings à Guérande en DE GrangerL’année suivante, en 860, après un détour en amont du Rhône, les Vikings ont jeté l’ancre en Italie, et c’est là qu’a eu lieu leur exploit le plus haut en couleur le sac de Luni, près de la ville actuelle de La Spezia. Fondée par les Romains, Luni était prospère et était dotée de défenses robustes. Selon Dudon de Saint-Quentin, chroniqueur du 11e siècle et principal témoin de cette histoire, les Vikings ont pris Luni pour Rome tant la ville était splendide. Face aux fortifications infranchissables, les Vikings ont dû s’ingénier pour s’infiltrer dans Luni. Après avoir feint la mort d’Hásteinn, ils ont envoyé plusieurs messagers aux portes de la ville pour demander si leur chef, qui s’était converti au christianisme, pouvait être enterré intra-muros On entend des plaintes [celles des Vikings], la vocifération d’un chagrin déloyal. L’Évêque convoque les habitants de toute la ville. Le clergé se présente en habit sacerdotal […] les femmes accourent en masse, et ne tarderont pas à être emmenées en exil. » Leur chausse-trappe a fonctionné et le cadavre » d’Hásteinn est soudain revenu à la vie. Il a pourfendu l’évêque, occis les habitants, et ouvert les portes de cette Rome chimérique à son équipage. En s’apercevant qu’il ne s’agissait pas de la Ville Éternelle, les Vikings auraient perdu tout entrain et s’en seraient retournés chez eux. LES FAITS ET LA LÉGENDE La plupart des historiens pensent que cette confusion » entre Luni et Rome, ce cheval de Troie à la sauce viking, est exactement ce de quoi elle a l’air d’une bonne histoire assez peu factuelle. On considère généralement que Dudon de Saint-Quentin est une source peu fiable. Les trois autres sources principales qui font mention des incursions de Björn en Méditerranée La Geste des Danois de Saxo Grammaticus, Le Dit des fils de Ragnar et La Saga de Ragnar aux Braies Velues datent toutes du 12e et du 13e siècles et ont donc été rédigées longtemps après les événements du 9e siècle qu’elles dépeignent. Björn y est décrit comme étant le fils de Ragnar Lodbrok, qui est en fait probablement un amalgame de plusieurs seigneurs de guerre vikings. La ville de Cordoue, dans le sud de l’Espagne, était la capitale de la dynastie Omeyyade qui contrôlait en grande partie la péninsule au 9e siècle. Ses villes ont été mises à sac par les Vikings en 844 et en historiens sont en revanche convaincus de l’existence de Björn. Et d’autres preuves documentaires suggèrent que les détails et les itinéraires donnés dans les chroniques sont fondés sur des faits. Il est toutefois impossible d’établir que Björn Côtes-de-Fer a bien été aux commandes de cette flotte. Des sources espagnoles corroborent l’existence de violentes incursions vikings en 859, tandis que des sources arabes décrivent un raid viking survenu à la même époque à Nekor en Afrique du Nord. Vers 858, l’abbaye d’Arles-sur-Tech a été pillée, vraisemblablement par des Nordiques », et les historiens ont découvert les vestiges d’un campement d’hiver viking en Camargue. Selon d’autres témoignages, une flotte viking aurait mis la ville de Pise à sac ; et entre l’été et l’automne 860, ils seraient arrivés à Fiesole. Les ruines de la ville romaine de Luni, dans le nord-ouest de l’Italie. À en croire certaines chroniques, les Vikings auraient mis la ville à sac en 860 après l’avoir prise pour Rome. Ce raid n’a toutefois pas empêché Luni de continuer à prospérer durant le DE Angel Villalba/Getty ImagesBien que la Méditerranée n’ait jamais été un théâtre majeur pour les raids vikings, les successeurs de Björn n’ont pas manqué de suivre son exemple. En France, la présence viking en Normandie a évolué. Les hommes bourrus du grand Nord se sont sédentarisés, ont adopté des mœurs chrétiennes et un parler français tout en conservant une trace de leur origine dans leur nom Nor-mands. Avant et après leur invasion de l’Angleterre en 1066, les guerriers normands ont confisqué une partie du sud de l’Italie aux Byzantins et une partie de la Sicile aux musulmans. Ils y ont construit des églises magnifiques qui témoignent de leurs aventures méditerranéennes et qui font écho aux voyages audacieux entrepris par leur parent, Björn Côtes-de-Fer, deux siècles plus tôt. Cet article a initialement paru sur le site en langue anglaise.
5 Longer la « riviera danoise » de Copenhage à Gilleleje. Sur l’île de Sjælland, on appelle la » riviera danoise » la côte qui va de Copenhague à la localité de Gilleleje, au Nord de l’île. Jalonné de plages, de coquets villages de pêcheurs et de modestes stations balnéaires, ce littoral est très apprécié des Danois.
Chaque année, l’Angleterre accueille plus de 35 millions de touristes internationaux. Et pour nous, Français, se rendre chez nos amis British passe forcément par une question cruciale le choix du moyen de transport pour traverser la Manche. De l’avion au train en passant par le ferry, l’offre est telle que les voyageurs pourraient facilement s’y perdre. Alors aujourd’hui, Jetlag vous aide à comparer chaque option pour, au final, choisir celle qui vous correspond le plus. Voici tout ce qu’il faut savoir sur les différents moyens de transport disponibles pour se rendre en Angleterre 1. Le ferry Crédit photo P&O Ferries Le ferry est sans doute le moyen de transport le plus négligé, il met pourtant en avant les plus beaux arguments afin de retenir le choix des voyageurs. En plus d’être peu coûteux, comparé à ses concurrents surtout lorsqu’on voyage en famille ou avec des amis, ndlr, il offre la possibilité d’embarquer son véhicule, et donc, de profiter d’une indépendance totale une fois sur le territoire britannique. Si vous avez le projet de réaliser un roadtrip en Angleterre, il s’agit de la solution idéale. Comme mentionné plus haut, le faible budget nécessaire fait partie des avantages énormes de l’option ferry. En moyenne, il faut compter entre 40 et 70 euros par traversée, en incluant le prix pour la voiture. De plus, les réservations sont particulèrement simples. Elles peuvent même se faire le jour du départ, directement au port. À titre de comparaison, il sera bien compliqué pour les voyageurs ayant choisi l’avion ou le train de se limiter à une addition aussi basse ! Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site des P&O Ferries. 2. L’avion Crédit photo Shutterstock / Fotos593 Si l’avantage de l’avion est sans doute la rapidité du temps de trajet, ce moyen de transport est souvent celui qui coûte le plus cher. Pour s’en sortir sans débourser des sommes folles, l’astuce est donc de passer par les compagnies low-cost et évidemment, de s’y prendre suffisamment à l’avance. Autre possibilité, attendre les offres de dernière minute, mais dans ce cas-là, vous ne serez pas certain de pouvoir partir aux dates voulues. Autre inconvénient, contrairement à la voiture, l'avion limite les destinations aux villes desservies par un aéroport. Celles et ceux qui choisiront l’avion afin de se rendre n’importe où en Angleterre pourront être ravis, dans un premier temps, de rejoindre leur destination de manière bien plus rapide que s’ils avaient opté pour le ferry ou le train. Mais dans la réalité, entre les transferts d'aéroport, les enregistrements et le fait de devoir arriver en avance sur place, la rapidité n'est plus réellement au rendez-vous. Il est important, au moment de choisir son vol, de se souvenir que la plupart d’entre eux ne desservent pas les aéroports principaux, mais d’autres plus excentrés. Il faudra donc penser à ajouter les frais de transfert jusqu’au centre-ville. 3. Le train Crédit photo Shutterstock / 06photo Depuis leur inauguration en 1994, le train est devenu l’un des moyens de transport les plus empruntés pour se rendre en Angleterre, et particulièrement à Londres. Il faut dire que le train propose de rejoindre la capitale anglaise en seulement 2h15 au départ de Paris, et 1h20 au départ de Lille. Mais les billets restent coûteux, pour avoir des tarifs vraiment interessants il faut malheureusement s'y prendre très en avance. Le principal avantage du train est que les voyageurs arrivent directement en centre-ville. Ils profitent donc directement de tous les services pour rejoindre leur hôtel ou leur logement, à l’instar des bus, du métro et des taxis. Un élément qui permet de gagner du temps et d’éviter de payer la navette depuis l’aéroport.
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Difficile de dire que l'Angleterre n'a pas mérité son ticket pour la finale dans cet Euro 2020 tant leur niveau de jeu était supérieur aux Danois. Cependant, au terme du temps réglementaire, les deux équipes ne parvenaient toujours pas à se départager et c'est aux prolongations que la rencontre a dû trouver son dénouement. Un dénouement qui s'est avéré chanceux et polémique dans le même temps pour les Anglais qui ont hérité d'un penalty très trop? généreux. Quelques secondes avant cette phase litigieuse, deux ballons se trouvaient sur le terrain et le sélectionneur danois, Kasper Hjumland, a avoué l'avoir indiqué à l'arbitre assistant . "Cinq secondes avant que Sterling ne traverse, il y a un ballon sur le terrain. Je suis avec le quatrième arbitre pour lui dire qu'il y a deux ballons sur le terrain", a expliqué le sélectionneur danois. Concernant le penalty, en conférence de presse d'après-match, ce dernier était également très amer même s'il n'avait pas encore revu la phase. "J'ai lu dans la presse qu'il n'y aurait pas dû avoir de penalty. Donc c'est quelque chose qui m'énerve, je suis déçu." Martin Braithwaite préférait quant à lui rester prudent dans ses propos pour éviter une grosse polémique et a donc évoqué la génération dorée qui est en train d'émerger au Danemark. "Nous devons digérer mais nous reviendrons bien sûr. Nous sommes fiers mais aussi très déçus car nous pensons qu'on aurait pu aller plus loin. La façon dont nous avons perdu rend les choses encore plus difficiles à comprendre. Je dois faire attention à ce que je dis mais nous sommes déçus à 100%. Nous avons un groupe incroyable et nous pourrons à coup sûr faire de grandes choses à l'avenir."Daniel Wass, le joueur de Valence, n'a quant à lui pas du tout modéré ses propos quand il a fallu aborder l'arbitrage. "Nous sommes déçus de perdre cette demi-finale et nous la perdons sur une énorme erreur d'arbitrage. La déception est encore plus grande quand c'est l'arbitre qui décide du match. Je pense que nous avons joué un tournoi fantastique mais se rendre en demi-finale à Wembley... et ensuite perdre sur une erreur d'arbitrage, c'est une honte".Consultant pour la télévision anglaise, Arsène Wenger est également revenu sur cette phase litigieuse en exprimant clairement le fait que selon lui, l'arbitre a fait une erreur. "Il n'y avait pas de penalty. Dans une telle situation, je ne comprends pas, ils ne demandent pas à l'arbitre d'aller voir le VAR. Dans une telle situation, c'est tellement important. L'arbitre était plus que convaincu qu'il y avait un penalty sur le moment même, alors que ce n'était pas du tout assez clair pour dire 'oui, il y avait penalty'."
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