Sivous aimez la musique et les musiques utilisées dans vos jeux, vous serez ravis de savoir que Far Cry 6, la nouvelle itération de la licence d'Ubisoft à inspiration cubaine, propose 15 titres à retrouver et à écouter quand vous le voulez, répartis dans les différentes régions de Yara. Présents sur des clés USB souvent à proximité d'un ordinateur, elles ne sont pas
Science-fiction Action Fantastique Avec l'arrivée du très attendu Halo Infinite, il est normal que beaucoup de joueurs et joueuses se replongent dans cette saga incontournable du jeu vidéo. C'est ce qu'on a fait et c'est justement pour ça qu'on vous dévoile notre classement des précédents épisodes de Halo, une des plus grandes licences de science-fiction vidéoludique. NOTRE TEST DE HALO INFINITE pourquoi c'est un espoir pour l'avenir de la saga Tout a commencé en 2001 sur le continent américain et en 2002 chez nous avec Halo Combat Evolved, lors du lancement de la Xbox, première console de Microsoft. Depuis lors, la saga Halo continue d'influencer toute équipe souhaitant développer un jeu de tir. Il s'agit également de la licence la plus lucrative de Microsoft même en comptant l'acquisition du catalogue Bethesda, eh oui, il n'est donc pas étonnant de voir la firme continuer de lui faire traverser les générations de consoles. De la Xbox à la Xbox 360, de 2001 à 2010, les jeux Halo sont développés par le studio Bungie qui a chéri son bébé pendant dix ans. À la fin des années 2000, le studio 343 Industries est justement fondé dans le but de succéder à Bungie qui commençait déjà à travailler sur Destiny. Le changement d'équipe très clairement tourné plus d'une page dans l'histoire de la franchise, pour le meilleur et pour le pire. Et on s'excuse à l'avance, même si tout le monde s'en fiche un peu, mais les petits jeux tels que Halo Spartan Assault et Spartan Strike ne font pas partie de ce classement. Ce qui nous intéresse ici, ce sont les jeux conçus pour nos consoles de salon ornementées d'un grand X vert oui, certains sont sur PC et Mac, on sait. Sans plus attendre, voyons quels ont été les hauts et les bas de l'univers créé par Bungie. C'est l'histoire d'un mec... Qui tient toujours ses promesses. 10. HALO 5 GUARDIANS C'est lequel, celui-là ? Alors que le Major part à la recherche de Cortana avec sa Blue Team de Spartans, le Spartan Locke et l'équipe Osiris poursuivent cette Blue Team parce que ouin ouin c'est pas bien de désobéir aux ordres. Les deux groupes sont attaqués par plein de Forerunnes pas contents. Pourquoi c'est décevant Dernier du classement ne veut pas forcément dire nul. Halo 5 Guardians a des qualités comme le fait d'inclure au scénario les frères et sœurs d'armes du Master Chief qu'on découvrait dans l'univers étendu. On a aussi l'occasion de voir à quoi ressemble la planète Sanghelios, foyer des Élites. Le plot twist du dernier acte qui nous brise le cœur avait le mérite d'être intéressant, tout comme ce qu'annonçait la cinématique finale. La légendaire Blue Team ce qu'il en reste Le problème, c'est que le jeu ne nous donne pas ce que promettait sa promo, notamment une trahison du Major envers l'UNCS qui menait à une lutte fratricide entre lui et d'autres Spartans. On devait également découvrir ce qu'étaient ces fameux gardiens » du titre, mais ces derniers n'arrivent qu'à la fin comme un cheveu sur la soupe c'est un peu comme les soi-disant révélations d'Assassin's Creed Revelations, hihi. À cela s'ajoutent des personnages un peu fades et une direction artistique qui se rapproche des Call of Duty futuristes récents. C'est aussi le cas du mode multijoueur, clairement pensé pour l'e-sport, qui pour le coup ressemble vraiment à du Call of et ne donne plus l'impression de jouer à Halo. Le second coup d'essai de 343 Industries après Halo 4 fut donc un peu décevant, mais les images de Halo Infinite font heureusement vivre de l'espoir. Dernière chose Halo 5 ne permet pas de jouer en écran scindé, et ça, c'est scandaleux. La Fireteam Osiris 9. HALO WARS C'est lequel déjà ? Vous savez, c'est le jeu stratégique en vue isométrique développé par les parents d'Age of Empires. Le joueur contrôle l'équipage de l'UNSC Spirit of Fire contre les troupes de l'alliance Covenante dans une guerre commencée il y a cinq ans et déjà perdue d'avance. Pourquoi c'est pas si ouf Soyons clairs, l'idée de raconter aux joueurs comment se déroulaient les premiers conflits entre humains et Covenants était excellente. L'intrigue de Halo Wars se déroule en 2531, soit 21 ans avant les événements de Halo Combat Evolved et ce n'est hélas pas l'impression qu'on a. La direction artistique ne nous dépayse même pas un petit peu et on se dit que l'histoire pourrait se dérouler en plein milieu de la trilogie principale. Les têtes pensantes du Spirit of Fire Le principal problème est que l'équipe d'Ensemble Studios n'a pas eu énormément de temps pour développer le jeu. En plus de cela, il a fallu imaginer comment adapter le gameplay d'un Age of Empires, conçu pour le PC, à la manette de la Xbox 360 oui, car il a fallu attendre sept ans avant que le jeu ne soit disponible sur PC. On note quand même que les cinématiques sont plutôt jolies et bien animées pour un jeu de 2009 même si la VF est assez gênante, dommage que les graphismes des séquences de jeu ne soient pas au même niveau. Il est vrai qu'un jeu de stratégie en temps réel est censé pouvoir s'accorder à n'importe quel univers. Il est aussi vrai que le premier Halo devait être un STR... mais il est indéniable que tout le monde préfère la recette d'un FPS quand il est question de cet univers. Les Spartans de la Red Team 8. HALO WARS 2 C'est lequel déjà ? Il s'agit d'une suite à Halo Wars, sauf que ça se passe deux décennies plus tard, pas longtemps après les événements de Halo 5. Le joueur y contrôle toujours les mêmes troupes de l'UNSC Spirit of Fire et y découvre une faction ennemie redoutable. Pourquoi c'est mieux Dans Halo Wars 2, l'équipage du Spirit of Fire se réveille après vingt-huit ans de sommeil cryogénique alors que le vaisseau approche de l'Arche, la gigantesque installation Forerunner de Halo 3. Les quelques bases de l'UNSC qui s'y trouvent semblent avoir été ravagées par des vilains pas beaux. Il s'agit des Parias the Banished en VO, des anciens Covenants qui se sont rebellés contre les Prophètes ; à leur tête se trouve Atriox, l'impitoyable brute comparable à Gengis Khan à une échelle galactique. L'entrée en scène impressionnante et angoissante d'Atriox Par rapport à son prédécesseur, Halo Wars 2 a l'avantage d'être également sorti sur PC et pas seulement sur Xbox, une grande partie des joueurs ont donc pu profiter de son gameplay comme ils l'entendaient. Le jeu a été développé à la fois par 343 Industries et surtout Creative Assembly connu pour la licence Total War. Les deux studios ont donc pu se diviser intelligemment les tâches et n'ont pas eu besoin de trop se presser. Bon, d'accord, la plupart des joueurs ont relevé des ralentissements quand ça pète de partout. La jouabilité ne cherche pas à révolutionner quoi que ce soit, on voit surtout que le jeu veut préparer le terrain pour Halo Infinite et ce n'est pas pour nous déplaire, on aime beaucoup les Parias. Ce qu'on aime aussi, ce sont les cinématiques encore plus belles que dans le premier. Rien d'étonnant de la part de Blur Studio, à qui on devait déjà les cinématiques de Halo 2 Anniversary et plein d'effets spéciaux du cinéma. En parallèle, les séquences de jeu sont assez agréables à regarder. Hologramme/20 7. HALO 4 C'est lequel déjà ? Alors que tout le monde ou presque le croyait mort, Master Chief est réveillé d'une sieste de 4 ans par une Cortana complètement psychotique, il doit sauver le vaisseau Infinity paumé sur une planète pas vraiment paradisiaque et castagner des tonnes de Forerunners. Pourquoi c'est l'épisode d'une résurrection un peu molle Premier épisode de la saga Halo post-Bungie, le jeu prend de grandes largesses par rapport à l'histoire de la première trilogie appelons ça le syndrome Star Wars. Inaugurant un nouvel arc narratif intitulé the Reclaimer Saga la saga du Dépositaire en VF, ça claque moins. Halo 4 met au centre de l'intrigue les Forerunners, et fait d'eux les antagonistes principaux. Quand Halo se la joue Matrix Et malheureusement, ce choix plombe quelque peu ce quatrième épisode. Les Forerunners ne sont pas à la hauteur des Covenants en termes de design, de variété et de charisme. Et comme conscient de cette faiblesse, le studio surcompense cela en rendant les Forerunners quasi enragés dans la seconde partie du jeu. Malgré quelques moments de gloire, comme la mission d'escorte du Mammoth vers le Reclaimer, mémorable, et l'ajout de véhicules plutôt sympas pour des séquences de carnage sur roues assez jubilatoires, le tout manque de sel. En tant que coup d'essai d'un nouveau studio sur une aussi grosse licence, 343 Industries ne s'en sort pas si mal. D'un point de vue technique le jeu fait honneur à la Xbox 360 et reste très agréable à l'œil, même en 2021. Cependant, l'histoire et la construction globale du jeu sont un peu brouillonnes, et souffrent de la comparaison avec la trilogie originale. Et quelle idée a pris aux développeurs d'ajouter du dubstep à la bande originale ? Ah shit, here we go again 6. HALO INFINITE C'est lequel déjà ? Quelques mois après les événements de Halo 5 Guardians, les troupes de l'UNSC et les Parias s'affrontent au-dessus du Halo Zeta, une installation Forerunner où se trouve Cortana. Il est question d'y trouver une entité antique encore plus menaçante que le Parasite. Pourquoi c'est un épisode réconfortant À l'heure où nous écrivons ces lignes, Halo Infinite est disponible depuis presque quatre mois et les développeurs ne nous ont pas encore tout dévoilé. En ce qui concerne le multijoueur, il y a suffisamment de modes pour nous divertir pleinement. On aimerait évidemment un peu plus de maps, notamment en Big Team Battle, un mode qui implique 24 joueurs, mais on suppose que les prochains pass de combat nous donneront ce qu'on mérite. Reviens là , que j'te teabag ! Côté campagne solo, on sent que 343 Industries compte sur la nostalgie pour nous séduire. Quand on se balade dans le Halo Zeta, on respire le même air que sur l'Installation 04 du premier volet de la saga. L'expérience en monde ouvert évoque parfois Borderlands ou Far Cry, mais l'essence de Halo reste présente du début à la fin. Les véhicules, les armes, le comportement des IA... Tout est pensé pour nous offrir une campagne aussi fun que possible. On regrette bien sûr que les environnements soient aussi peu variés, mais le scénario n'en est pas moins cohérent et assez prenant pour nous donner envie d'aller au bout. Les grands absents sont sans aucun doute la coop et le mode Forge, qui devraient a priori arriver avec la saison 2 du battle pass. Il serait d'ailleurs logique que l'histoire nous propose un deuxième acte avec l'arrivée de la coop et de certains personnages des précédents jeux. On pense notamment à Palmer, la team Osiris et le légendaire Arbiter. Notre test de Halo Infinite À quand la suite ? 5. HALO COMBAT EVOLVED C'est lequel déjà ? Alors que le vaisseau Pillar of Autumn insérer métaphore phallique se fait attaquer par les Covenants, le Master Chief se retrouve à atterrir en catastrophe sur un Halo et à protéger Cortana, une intelligence artificielle qui ne doit pas tomber entre les mains de l'ennemi. Pourquoi c'est une origine intemporelle À sa sortie, Halo Combat Evolved est le jeu qui a servi de pilier principal à la toute première Xbox. Avec son univers foisonnant, son monde ouvert enchanteur et sa musique aux accents grégoriens, les aventures du Major ont lancé la console de Microsoft dans le futur, au point de marquer à tout jamais l'industrie du jeu vidéo. Tin tin tin tiiiiiiiin.... tin tin tin tiiiiiiiiin... Certes, rétrospectivement, Combat Evolved possède quelques carences dans sa campagne au rythme en dents de scie. Cependant, il est indéniable que les équipes de Bungie ont su donner aux joueurs une sensation de puissance jouissive, en lâchant leur personnage dans un monde hostile où les possibilités d'interaction avec les armes et les ennemis sont nombreuses. Pour autant, Halo premier du nom a aussi pour lui une progression réfléchie, principalement due à sa virée horrifique impressionnante dès lors que notre héros surpuissant se voit submergé par la menace des Floods. Mais ce qui fait d'Halo un jeu culte, c'est la perfection de son gameplay, qui a su adapter pour plusieurs générations la manière dont un FPS doit être pensé pour une console. Entre son système de déplacement et de visée fluides, son coup de mêlée mythique, ou encore la stratégie que demande le port de seulement deux armes, Combat Evolved a su cacher derrière sa simplicité apparente une incroyable richesse. Pas étonnant qu'il soit devenu un incontournable du multijoueur, en amenant des geeks acharnés à se retrouver pour des LAN parties aujourd'hui fantasmées. Allez les gars, on va tous les teabag ! 4. HALO 3 ODST C'est lequel déjà ? Halo 3 ODST est un spin-off se déroulant sur Terre, pendant les événements de Halo 2 et 3. Nous y incarnons des soldats de l'UNSC qui essaient tant bien que mal de protéger une ville assiégée par les Covenants. Pourquoi c'est génial Alors que Bungie espérait en avoir fini avec Halo, Microsoft leur commande deux derniers jeux avant de les laisser partir. Ne voulant plus impliquer le Major, Joseph Staten, le principal scénariste du studio, se dit Et si on faisait un film noir dans l'univers de Halo ? ». L'idée était de raconter une histoire un peu plus humaine avec des personnages, certes coriaces, mais beaucoup plus vulnérables que des Spartans. À partir de là , les concepteurs artistiques se mettent au travail et finissent par convaincre le compositeur Martin O'Donnell d'être de la partie. Breath of the Wild avant l'heure Le gameplay de Halo 3 ODST nous plonge dans les rues de la Nouvelle Mombasa, un monde semi-ouvert où un des personnages, le Bleu, enquête pour savoir ce qui est arrivé à son équipe. L'intrigue nécessite de jouer la campagne une première fois en solo pour bien comprendre tout ce que le jeu a à raconter vous pouvez évidemment jouer comme vous voulez et avec qui vous voulez, et à mesure que l'enquête avance, on s'attache pas mal aux personnages. Deux d'entre eux sont d'ailleurs doublés par Nathan Fillion et Alan Tudyk, car les développeurs sont de gros fans de Firefly. À défaut d'avoir un mode multijoueur comme ses prédécesseurs, ODST propose le mode Baptême du Feu qui consiste à affronter des vagues d'ennemis et survivre le plus longtemps possible. Rien de révolutionnaire, juste un max de fun à partager avec vos amis en écran scindé ou via le Xbox Live. L'escouade Alpha-Nine 3. HALO REACH C'est lequel déjà ? C'est le dernier Halo développé par Bungie et c'est celui qui se passe quelques semaines avant Combat Evolved. On y incarne un Spartan de troisième génération alors que les Covenants arrivent sur la planète Reach, dernier bastion de l'humanité avant la Terre. Pourquoi c'est génial Halo Reach est le cadeau de Bungie fait aux joueurs avant de quitter Microsoft tout ça pour aller se faire maltraiter par Activion avec Destiny, on n'aurait pas rêvé mieux. Les dialogues du début de Halo 2 nous évoquaient la chute de la planète Reach face à la puissance de la flotte Covenante ; malgré cela, le déroulement de l'intrigue de Reach nous laisse croire que, tant qu'on peut encore se battre, il y a de l'espoir. Une intro pas forcément rassurante On a affaire à des personnages badass et attachants, une direction artistique merveilleuse, des batailles super fun en solo comme en co-op, le tout rythmé par une histoire tragique qui élimine les personnages un par un dans des cinématiques super bien réalisées. Le très peu de fan-service suffit à ravir les fans, surtout quand on découvre enfin le Dr Halsey, la maman » de tous les Spartans, qui confie Cortana au protagoniste pour l'emmener sur le Pillar of Autumn. Plus on joue, plus on a la possibilité de personnaliser l'armure de Noble 6, le mystérieux protagoniste, c'est aussi ce qui permet de différencier vos camarades en co-op. D'ailleurs, Halo Reach dispose d'un des meilleurs modes en ligne de la saga probablement ex æquo avec Halo 3, qui nous a fait passer des heures sur le Xbox Live à se battre pour les meilleures armes de chaque map, toutes plus ingénieuses les unes que les autres sauf une qu'on ne citera pas. La bonne vieille map Compte à rebours 2. HALO 2 C'est lequel déjà ? Alors qu'il reçoit une médaille comme dans Star Wars, le Master Chief doit empêcher une flotte Covenant d'attaquer la Terre, et découvre surtout que les aliens ont trouvé un deuxième Halo comme dans Star Wars. L'épisode qui ose tout, et c'est génial Plus grand, plus fort, plus fou, Halo 2 a eu l'ambition d'être encore meilleur que son aîné, devenu entre-temps un jeu incontournable. Néanmoins, les limites techniques de la Xbox ont vite obligé Bungie à faire preuve de malice, surtout lorsqu'ils se sont décidés à mettre en scène de grands moments de guérilla urbaine sur Terre. L'Arbiter, un bien beau personnage Ainsi, malgré son level design plus resserré, Halo 2 est un titre qui ne cesse d'impressionner, comme lors de la bataille de New Mombasa. Mais surtout, les développeurs ont eu l'idée de génie de renouveler l'expérience du premier opus en offrant non pas un, mais deux points de vue. Avec un retournement de situation digne de Metal Gear Solid 2, la suite de Halo alterne entre des séquences dans la peau du Master Chief, et des passages dans le rôle d'un commandant Covenant déchu après les événements du premier jeu. Non seulement cet ajout permet d'approfondir grandement le monde des extraterrestres et leur politique, mais elle délivre aussi un récit plus tragique, centré sur la quête de rédemption d'un être rejeté par les siens. L'univers de Halo n'en devient que plus sublime, comme s'il mettait en exergue la petitesse de nos héros dans cette immensité cosmique. Ajoutez à cela le génial fusil de combat, l'épée à énergie et la possibilité de faire de l'akimbo, et voilà qu'Halo 2 parvient à devenir encore plus fun et stratégique. Tandis que le premier volet s'est imposé comme un jeu culte des LAN parties, sa suite a été le titre à même de donner vie au Xbox Live, et d'amener Microsoft et le FPS dans une nouvelle ère du online. Vous reprendrez bien un peu de plasma ? 1. HALO 3 C'est lequel déjà ? Alors que le Master Chief s'écrase encore sur Terre en pleine jungle africaine, il doit mener une course contre la montre pour empêcher le Prophète de la Vérité d'atteindre l'Arche, l'imprimante 3D géante capable de produire des Halos. Pourquoi c'est le Halo pour les gouverner tous Après la claque du deuxième épisode, et surtout après trois années à attendre fébrilement pour savoir où allait mener le cliffhanger insoutenable de la fin de Halo 2, Halo 3 arrive comme le messie en 2007. Et ce fut l'épisode du "on pousse tous les potards à 1000" sur tous les aspects. La campagne de Halo 3 est de loin la plus passionnante de toute la saga. Menée de main de maître, elle vient conclure les arcs de Master Chief, de Cortana et de l'Arbiter de façon parfaitement cohérente. Outre une narration au top et un rythme parfait, l'aventure réserve les gunfights les plus inoubliables de la saga, et des phases en véhicules bourrées d'adrénaline, avec pour climax la fuite finale en Warthog, absolument culte. Amicalement vôtre Mais comment parler de ce troisième opus sans évoquer son mode multijoueur ? Premier titre de la saga sur Xbox 360, Microsoft avait misé gros sur le volet online du jeu, et ce à raison, puisqu'aujourd'hui encore, l'expérience multi de Halo 3 est considérée comme l'une des meilleures de toute l'histoire du jeu vidéo. Les cartes furent savamment conçues, et fourmillaient de détails. Leur level-design brillant amenait à l'élaboration de stratégies complexes et réservait de beaux moments de bravoure en équipe. Mention spéciale à The Pit, une merveille de conception. Plus important encore, le mode Forge permettait aux joueurs les plus créatifs de concevoir leurs propres cartes et modes de jeu, ce qui assurait au titre une durée de vie quasi sans fin. Avec son gameplay aux petits oignons, sa campagne maitrisée de bout en bout et sa durée de vie colossale en multi, rien d'étonnant au fait que presque 15 ans après sa sortie, il reste l'un des jeux de tir à la première personne les plus appréciés de tous les temps. Newsletter Ecranlarge Recevez chaque jour les news, critiques et dossiers essentiels d'Écran Large. Vous aimerez aussi
Autants’attaquer à l’éléphant dans la pièce : oui, Far Cry 6 n’apporte pas de réelle révolution dans le gameplay. On retrouve tout ce qui a fait le succès de Far Cry 3, avec un monde ouvert gigantesque, une foultitude de missions diverses et variées et un antagoniste charismatique. Très rapidement, on nous donne tous les éléments qui viendront rythmerVoir toute la catégorie Pro Une recette qui ne change pas Publié le 30/03/18 à 07h00 5 Far Cry fait partie des licences incontournables d'Ubisoft et revient avec un nouvel opus dont on attendait beaucoup. Finalement, on retrouve la recette déjà goûtée dans les 3e et 4e volets, sans que le sel des angles politiques entrevus depuis la première présentation de Far Cry 5 ne vienne rehausser la saveur du plat que nous sert l'éditeur français. Après les montagnes de l'Himalaya et les vallées préhistoriques, c'est au tour du comté de Hope dans le Montana de servir de terrain de jeu à la série Far Cry. C'est donc dans l'Amérique profonde que nous entraîne Ubisoft. Dans la peau d'un adjoint du shérif local, le joueur découvre qu'un énigmatique gourou prêche pour imposer une religion en utilisant des méthodes violentes. Un sujet délicat, mais ô combien actuel, qui nous fait alors miroiter un jeu aux accents engagés, égratignant pourquoi pas les États-Unis de Trump. On se rend toutefois vite compte que Far Cry 5 reste un jeu vidéo et non pas un pamphlet Montana sous son plus beau jourEn bon jeu Ubisoft, FC5 offre un monde ouvert vaste et particulièrement beau. Les paysages ne sont certes pas très variés, mais que l'on se trouve en montagne ou en plaine, l'émerveillement reste total aux lacs, rivières et prairies que nous offre le Montana. On pourrait même parfois se laisser tenter de gambader au hasard dans les forêts, à la recherche de panoramas au détour d'une clairière. La faune est quant à elle bien présente avec des cerfs, des bisons et autres élans dont on vient troubler la quiétude, ou encore des animaux plus dangereux comme les ours, les loups et les carcajous — sortes de marmottes enragées qui ne sont pas sans rappeler les ratels de Far Cry bien beaux paysages. crédit Gamekult,Mais évidemment, ce ne sont pas les animaux qui viennent tant troubler le Montana. Les méchants, les vrais, ce sont les membres de la secte dirigée par Joseph Seed. Ces fanatiques manipulés sont regroupés dans des camps qu'il faut aller libérer, reprenant la mécanique habituelle des licences comme Far Cry ou Assassin's Creed. La carte du jeu est séparée en 3 grandes zones, chacune dirigée par un lieutenant de Joseph Seed. Là encore, il s'agit d'un classique pour Ubisoft. Cependant, contrairement aux opus précédents, l'exploration du jeu se fait moins sur des rails. Il faut même aller arpenter les chemins sinueux de la zone pour découvrir de nouvelles activités. Celles-ci ne sont pas bien inventives retrouver le chat de la mère Michel — on exagère à peine —, collecter des figurines, explorer des bunkers de survivalistes ou libérer de gentils Américains résistants à l'envahisseur. L'infiltration a disparuCette routine dans les différentes quêtes est à la fois ce qui peut plaire et ce qui peut rebuter dans Far Cry 5. Toutefois, si l'on décide de s'accrocher à ce rythme, il faut composer avec un défaut majeur l'IA des adversaires. Far Cry fait la part belle aux échanges de coups de feu bien gras, mais il est censé être possible de se montrer plus discret, éliminant les ennemis dans le feutré. On s'arme alors d'un arc, de couteaux de lancer ou d'un bon vieux silencieux et on part à l'assaut, tapis dans les fougères. Un tour de la zone permet de marquer méticuleusement tous les "cinglés" — nom donné aux membres de la secte — pour ensuite les éliminer un à un. Nous voilà prêts. Un sniper isolé sur un toit s'offre à nos flèches. On décoche. Paf ! En pleine tête. La cible s'écroule sans un bruit, hors du champ de vision de ses camarades. On passe au suivant ? Non. Toute la troupe se trouve alertée et part à notre recherche. Pour l'infiltration, il faudra repasser et le nettoyage se finit souvent à la grenade et à la mitrailleuse lourde. Dommage. Le deuil de cette part du jeu étant fait, il nous reste le fil conducteur de l'histoire pour profiter de Hope County. Malheureusement, celui-ci n'est pas exactement à la hauteur de nos attentes. Les grands méchants manquent de profondeur et nous laissent sur notre faim. Tout n'est pas noir non plus. On peut saluer une VF travaillée, avec des dialogues aussi vulgaires qu'imagés et quelques piques envers le président américain. Un poil léger pour sauver totalement l' carte découpée en 3 zones, classique. crédit GamekultClairement pas aussi bon qu'un Assassin's Creed OriginsLe jeu offrira plusieurs dizaines d'heures à ceux qui souhaiteront en fouiller les recoins. La trame principale est en plus complétée par le mode Arcade et son éditeur de niveaux. Tout le monde pourra ainsi créer ses propres missions et les partager avec la communauté des joueurs. Si les contributeurs de ce système sont prolifiques, il y a de quoi ajouter de bonnes heures. Si vous aimez les mondes ouverts à la sauce "Ubi", vous trouverez tout de même votre compte dans Far Cry 5. Ce dernier souffre cependant de la comparaison avec l'autre grande licence récemment renouvelée Assassin's Creed, avec son dernier épisode Origins. Si celle-ci a su admirablement rebondir avec Origins, ce n'est pas le cas de Far Cry avec son numéro 5. Far Cry 5 Tout PS4 Xbox One Tout PS4 Xbox One Marketplace occasion 12,91 Cdiscount Marketplace occasion 12,95 Amazon Marketplace occasion 15,78 Amazon Marketplace 16,45 Rakuten 17,99 Back Market 20,00 Amazon 22,98 Cdiscount 24,98 29,99 Darty Marketplace 31,08 Cdiscount Marketplace 34,89 La Redoute Marketplace 37,48 Marketplace occasion 12,91 Cdiscount Marketplace occasion 12,95 Amazon Marketplace occasion 15,78 Amazon Marketplace 21,05 Amazon 22,98 Cdiscount 24,98 29,99 Darty Marketplace 31,08 La Redoute Marketplace 37,48 Marketplace occasion 14,99 Cdiscount Marketplace occasion 15,00 Amazon Marketplace 16,45 Amazon Marketplace occasion 16,64 Rakuten 17,99 Back Market 20,00 Cdiscount 24,98 Cdiscount Marketplace 34,89 La Redoute Marketplace 37,48 Darty Marketplace 39,45 Fonctionnement du tableau de prix L'avis de Gamekult "Il nous aura fait miroiter un monde ouvert des plus vivants, une histoire marquante et des personnages charismatiques, mais Far Cry 5 a beaucoup de mal à prêcher la bonne parole. La rencontre avec Joseph Seed et les premiers pas dans un Montana vaste et organique offrent une très bonne première impression, mais le tout refroidit au contact du système de progression punitif et peu engageant du jeu. Ni mal réalisé ni foncièrement exécrable, Far Cry 5 pèche souvent par facilité ou par omission, avec une recette d'open-world qui s'essouffle de plus en plus. Il finit par cacher son manque d'audace sous un déluge de barres de progression, de quêtes vides d'intérêt et une histoire beaucoup trop timorée pour être captivante, et il faut avoir le courage d'affronter des dizaines d'heures de grindidiot et une IA éclopée pour tomber sur les quelques bonnes idées du jeu. Si vous êtes novice dans la série et si la perspective du coop intégral est négociable, préférez-lui le troisième opus, mieux exécuté, voire le quatrième opus, moins maîtrisé, mais dont le déroulement vous donnera sans doute plus de plaisir qu'ici." 5/10 Publications qui peuvent vous intéresser
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Huitième épisode canonique de la célèbre saga horrifique de Capcom, Resident Evil Village est le jeu des retrouvailles ! Celles avec le protagoniste de RE7 tout d’abord, Ethan Winters… Et puis, celles avec l’ambiance de Resident Evil 4 et son semi-openworld perdu quelque part en Europe. Si ce n’est que, quand Léon découvrait une bourgade espagnole… Ethan, lui, se retrouve au beau milieu de vampires et de loups-garous, dans ce qui est probablement un village paumé au beau milieu de la Roumanie. Il était une fois… Bien loin de Raccoon City… Qui veut la peau de Ethan Winters ? La star du jeu son Réalisation la transition vers la nouvelle Donc, une fois le jeu fini ? Au final1 Resident Evil Village Il était une fois… Bien loin de Raccoon City… Après nous avoir servi deux remakes, au demeurant très intéressants RE2 et RE3, cliquez pour lire nos tests, la série Resident Evil avait vraiment besoin de sang neuf, si j’ose dire ! Le dernier épisode original en date étant le septième, sorti en 2017, et dont ce Village » est la suite directe ! J’entends par là que Capcom a choisi de conserver sa vue à la première personne… Et que le joueur va retrouver ce bon vieux Ethan Winters. Ainsi que Mia, sa dulcinée qu’il devait arracher à la folie de la famille Baker trois ans auparavant, en Louisiane, dans Resident Evil 7. En trois ans, il peut s’en passer des choses ! Un bébé peut arriver, par exemple ! Effectivement, le jeu s’ouvre sur une séquence animée qui nous présente un conte, à la manière de la légende des trois frères et des Reliques de la Mort dans le film Harry Potter éponyme. D’ailleurs, un petit conseil, dans le récit narré par l’intro du jeu de Capcom, retenez bien les intervenants ils ont leur importance dans l’histoire, et la séquence finale qui boucle cette histoire vous montrera ô combien. Bref… Le jeu démarre sur un conte lu à Rosemary, bébé de six mois, d’Ethan et Mia. Jusqu’à ce que… Je m’arrête là la suite ne vaut que si vous la découvrez par vous même ! ► LIRE AUSSI NOTRE TEST Resident Evil VII – Biohazard l’horrifique partie de cache-cache de Capcom J’ai cru comprendre que des fans de la licence ont eu un peu de mal avec le cadre de ce nouvel opus. Pas de zombies, et pas de Raccoon City, ce n’est donc pas un Resident Evil… Mais d’une part, RE7 démontre que la contamination peut revêtir différentes formes on a même vu nombre de monstres très différents dans la saga. D’autre part, et durant mes parties, je n’ai eu de cesse d’avoir cette idée à l’esprit… Ce Resident Evil Village est très proche, dans sa construction, ses mécaniques ou son ambiance, de Resident Evil 4… Qui est pourtant l’un des préférés des fans. Et puis, vous pouvez compter sur quelques révélations glissées ici et là pour fermer définitivement ce débat. Qui veut la peau de Ethan Winters ? C’est la question que vous allez vous poser tout au long de l’aventure… Tant, du début à la fin du récit, absolument tout le monde semble vouloir buter notre Ethan de la pire manière qu’il soit ! Avec le danger aux trousses quasiment à chaque instant, je peux vous dire que votre cher avatar va prendre cher, se faire défoncer de partout ! Et c’est bien là un élément qui va venir renforcer votre sentiment de peur le stress permanent ! Car tout va très vite, nous sommes dans un jeu d’action à la première personne… Et Ethan le joueur n’aura bien souvent d’autre choix que de prendre des décisions rapides ou ses jambes à son cou, sous peine de finir en tapis de salle de bains, pour la gigantesque Alcina Dimetrescu. Une fois l’aventure lancée, une fois que vous prenez votre avatar en main, le jeu débute aussi et vous impose son rythme frénétique. Celui-ci va consister à avancer, tirer, essayer de survivre, fuir, se soigner, tirer, etc. Du coté du level-design, on appréciera les nombreuses interactions avec l’environnement en semi-openworld, qui vous sauveront la vie plus d’une fois. Entre les barils explosifs, les meubles à déplacer pour barricader les portes, ou les sacs de farine pour aveugler l’ennemi… On ne crachera pas sur ces mécanismes qui aideront votre fuite. ► LIRE AUSSI NOTRE TEST Resident Evil Origins Collection Et le mot fuite » est important ! Car nous ne sommes pas dans un jeu de tir, avec des munitions à l’infini ! Bien que cet épisode soit sans doute celui dans lequel vous ferez le plus parler la poudre. Au point de nous laisser croire, lors de quelques passages mémorables, que nous sommes dans un FPS à la Doom, ou du Call of en mode Zombies. Mais histoire de vous faire stresser davantage, Capcom vous rappelle quand même que vous êtes dans un Resident Evil ! Un jeu qui vous oblige à compter vos balles. Car en revanche, vous ne compterez pas le nombre de fois où vous vous ferez mettre à l’amende… Parce qu’il vous reste trois balles, face à un lycan qui demande à en ingurgiter une dizaine pour passer de vie à trépas. Alors, et c’est bien là le coté vicelard des développeurs… Vous voilà contraint de partir explorer une zone hostile, où vous n’auriez pas souhaité mettre les pieds. Juste pour ramasser un stock de munitions salvateur. En espérant que les ennemis présents sur la route ne viennent pas ruiner l’intérêt de la démarche ! Heureusement, pour vous aider et à l’instar de Resident Evil 4, vous croiserez régulièrement un marchand. Ici, ce gros bonhomme qui se déplace dans une roulotte, et apparaît dans des lieux improbables, se fait appeler The Duke ou Le Duc. Achetez lui des munitions, des armes, des soins, ou de nombreuses améliorations d’armes, mais attention ! Car comme dans RE4, votre inventaire est limité et ici, pas de malle magique. Il consiste en un nombre de blocs, sur lesquels vous placerez vos items. Et quand la grille est pleine, il faut faire des choix. Et virer un objet parfois utile, pour y loger un autre artefact. Heureusement, les objets nécessaires à votre progression ou fabriqués grâce à l’artisanat poudres ne sont pas comptés sur cette grille. La star du jeu son scénario Aujourd’hui, avec le recul, si on me demande quel est l’aspect qui m’a le plus marqué dans ce Resident Evil Village… Je vous répondrai sans hésiter qu’il s’agit de son scénario. Il y a tant à vous dire à ce sujet !! La difficulté étant qu’il est difficile d’étayer mon argumentaire sans tomber dans le spoiler… Mais rassurez vous, je n’ai pas l’intention de divulgacher » l’histoire du jeu, dont vous connaissez déjà les grandes lignes. Sachez simplement que le jeu m’a semblé moins effrayant que Resident Evil 7. Sans doute parce que son scénario vous pousse à outrepasser vos craintes pour éclaircir les mystères qui planent sur le village. L’écriture de cet épisode est une vraie réussite ! Et ceux qui vous diront le contraire n’ont sans doute pas terminé le jeu ! Resident Evil Village est un accomplissement. Il ferme un arc narratif, en ouvre un autre on le suppose, répond à vos interrogations, apporte des éléments au lore de la saga Resident Evil… Tout en faisant référence aux opus précédents. Bien évidemment, le jeu est jouable sans avoir fait les autres volets. Et un résumé du 7e épisode vous est servi en entrée… Mais si vous êtes un inconditionnel de la saga, vous apprécierez tous ces petits détails qui se raccrochent tantôt à Resident Evil 7, tantôt aux autres épisodes… ► LIRE AUSSI NOTRE TEST Resident Evil 3 un remake de toute beauté, le gore en moins Cerise sur le gâteau, ce scénario pousse son soucis du détail jusqu’à vous dévoiler les explications de certains éléments qui pourraient vous sembler incohérents de prime abord. Pourquoi Ethan soigne t-il de si grosses blessures, simplement en se versant une potion sur la main ? Je n’en dirai pas plus, mais sachez que cet épisode répondra, entre autres, à cette question. Et c’est là toute sa force rendre le tout cohérent ! Bétonner un lore dont la petite graine a été plantée voilà déjà 25 ans, en 1996. Un univers qui a beaucoup évolué, mais où tout se tient… Et que dire du bestiaire installé ici ? Exit les zombies traditionnels de la saga. Dans Village, vos nouveaux compagnons de jeu sont des Lycans des loups-garous, plus rapides, plus féroces et plus intelligents plus nombreux et plus résistants aussi ! Les habitants du château vont aussi vous laisser un souvenir impérissable. De la colossale Lady Dimitrescu du haut de ses 2,90m à ses trois filles dont une doublée par Dorothée Pousséo, la voix de Tracer dans Overwatch. Pour son ambiance, pour sa direction artistique, on pourrait penser que la petite fée, quand elle s’est penchée sur le berceau de ce Resident Evil Village, avait un certain Resident Evil 4 en tête. Et ce n’est pas faux si Village est loin d’être un remake de RE4, il en est le fils spirituel pour son ambiance… Réalisation la transition vers la nouvelle génération Inutile de s’attarder sur ce point ! Le jeu tourne sur RE Engine, qui nous offre un spectacle visuellement de toute beauté ! C’est aussi l’une des forces de Resident Evil Village ses environnements sont tellement réalistes qu’ils en deviennent plus organiques, presque palpables. On sent le froid lorsque l’on progresse dans la neige, on ressent du dégoût lorsque l’on se perd dans des souterrains crasseux. Et je n’ai même pas parlé du château, qui nous offre un magnifique cadre gothique, sublimé par ses détails et ses jeux de lumière. Les graphismes d’un jeu, ce sont aussi ses personnages. Et une fois encore, on peut saluer le jeu des acteurs. Qu’il s’agisse des protagonistes principaux Chris, Ethan, Mia…, ou des PNJ qui font passer tant d’émotion dans leurs attitudes ou leurs yeux. Lorsque les cloches du château résonnent et que les lycans déboulent sur le village, la peur vous parvient d’abord par les regards terrifiés de vos malheureux hôtes. Juste avant d’entendre des bruissements de feuilles, ou des grognements à l’extérieur des maisons. ► LIRE AUSSI NOTRE TEST Resident Evil 2 le jour où Capcom réinventa son jeu culte La réalisation au service du scénario, ou le scénario au service de la réalisation ? Resident Evil Village semble avoir trouvé le parfait équilibre. Un équilibre qui permet à la série, plus que jamais auparavant, d’installer une ambiance à la fois crédible, et effrayante. Le réalisme de ce conte horrifique vaut pour l’ancienne génération PS4 et Xbox One… Mais est, je n’en doute pas, sublimé sur PS5 et Xbox Series. En d’autre termes, Resident Evil Village est le jeu parfait pour permettre à l’ancienne génération de tirer sa révérence… Mais est aussi idéal pour nous en mettre plein les mirettes et plein les doigts avec le ray-tracing, les retours haptiques de la PS5… Et autres subtilités qui font la force de la new-gen. Donc, une fois le jeu fini ? Et oui, on est en droit de se poser la question. Car comme vous pouvez vous en douter, une fois le premier run terminé comptez environ 10h pour voir le générique de fin en mode normal, vous connaissez déjà 90% de l’intrigue et des belles surprises que le jeu a réservé à ses fans. Alors, quid de la rejouabilité dans un titre qui, comme je le disais plus haut, vaut pour son histoire, et pour ses quelques twists ? Et bien… Rassurez-vous, Resident Evil Village a encore pas mal de choses à nous vendre. Et encore une fois, je dois essayer de vous garder la surprise. Mais il a tous les arguments pour vous occuper encore pendant des heures entières, voire des journées si vous visez le 100%.. Bien évidemment, les fans de la série et les amateurs de carnage en règle vont pouvoir s’amuser à refaire le jeu pour en trouver 100% des items et caisses planquées ici et là . Mine de rien, ça occupe. D’autant que, une fois le jeu fini, vous pourrez toujours refaire l’aventure en new game plus. Avec des armes plus pétées. Et quand il s’agit de se faire du lycan au lance-grenades ou au Magnum, ça fout forcément beaucoup moins la trouille qu’avec un couteau de chasse. Ajoutez à cela le fait que le New Game Plus ajoute aussi des améliorations d’armes, via la boutique du Duc, ou la possibilité de munitions illimitées… Et je vous laisse imaginer le carnage ! Vos runs suivant vont, pour le coup, devenir de vraies parties de FPS défouloir » ! ► LIRE AUSSI Resident Evil 14 anecdotes à connaître sur la saga de Capcom Et puis, c’est un grand classique dans la série une fois le jeu terminé, vous débloquerez également le mode Mercenaries. Ce mode arcade, indépendant de l’histoire principale, se débloque en passant par le menu de bonus, puis la boutique spéciale. Contre 10PC, vous pourrez l’obtenir et ainsi vous lancer dans des missions qui consistent à dégommer le plus d’ennemis dans une limite de temps. Au final Waow ! Alors là , franchement… Quand un jeu, une fois terminé, vous laisse sur le cul pendant plusieurs minutes ou heures, à ressasser ce que vous venez de vivre… C’est plutôt bon signe ! C’est mon cas, avec ce RE Village qui, à mon sens, mérite le détour pour son scénario et son ambiance, plus que pour le sentiment de peur qu’il procure ou pas. Et c’est là toute sa richesse son principal atout n’est plus l’horreur, mais son scénario et son rythme. Ce qui est à la fois une qualité, et une difficulté. Pas besoin, je pense, de vous expliquer pourquoi c’est une qualité. En revanche, à mon sens, c’est aussi une difficulté car par son histoire et son rythme, Resident Evil Village se déroule comme s’il avait été conçu pour être joué en un seul run. Et il est très frustrant de sauvegarder, pour y revenir le lendemain la moindre pause, la moindre coupure, nous sort de ce rythme frénétique. Pour ce qui est du scénar’, c’est une autre histoire tant on reste plongé dedans une fois la manette posée. ► LIRE AUSSI NOTRE TEST Devil May Cry 5 le beat’em all à papa » qui va botter des culs Resident Evil Village est et restera l’une des plus belles claques de cette année 2021. Bien sûr, il risque de frustrer ceux qui s’attendaient à avoir la trouille de leur vie, car s’il reste un jeu horrifique, la peur n’est pas sa meilleure arme. Mais pour sa construction, pour son scénario, pour son ambiance ou pour les sensations ressenties par le joueur au fil de l’aventure… REVillage est un titre à ne pas louper, que l’on soit fan ou non de la saga Resident Evil. Resident Evil Village Par CapcomSur PS4 & PS5, Xbox One et Series X/S, PC Steam.Genre Survival HorrorClassification Pegi 18Prix 69,99€. Testé sur PS4, sur une version fournie par l’éditeur Les points positifs Un vrai scénarioUne ambiance incroyableLe jeu se diversifie du début à la fin et vous réserve quelques belles surprisesVisuellement, c’est superbeUne VF de très bonne factureDes combats très intéressantsC’est fluideDurée de vie correcte, bonne rejouabilité Les points négatifs Une aventure qui se termine trop viteDeux ou trois twists prévisiblesBeaucoup de couloirsMais on veut de la VR, bon sang !Sans doute l’épisode de RE où l’on fait le plus parler la poudre Resident Evil Village est, pour moi, sans aucun doute l'une des expériences les plus fortes de 2021. Notamment pour son ambiance folle, et pour son scénario passionnant qui, à mon sens, fait passer la peur marque de fabrique de la série au second plan. Sa force réside dans le fait que Capcom ose, à plusieurs reprises, prendre des directions inédites dans la série. On en reparle en décembre, mais nous avons ici un titre qui risque fort de figurer dans notre classement des meilleurs jeux de l'année. En attendant, Resident Evil Village est un jeu à essayer au plus vite si vous aimez la saga de Capcom, ou si vous êtes fan de l'ambiance du Dracula de Bram Stoker. Réalisation Scénario Jouabilité Durée de vie Ambiance généraleSpiderMan : notre test accessibilité. 5.5. Ça n’est pas tout de faire des salons et des interviews, mais comme promis sur twitter, on reprend nos tests d’accessibilité avec Spider-Man ! Les jeux Spider-Man suivent le rythme des films. On en est donc à pas moins de 30 jeux qui mettent en scène ce super-héros de Marvel parmi les plusTout sur le jeu infos, actualités, vidéos et astuces ou soluces du jeu Patapon Patapon trailer de lancement Pour marquer comme il se doit la sortie de Patapon, Sony Computer Entertainment nous propose une vidéo inédite. 25/02/2008, 1547 Patapon la démo sur le PSN PC Patapon prépare sa sortie en Europe et aux Etats-Unis avec une démo jouable que l'on peut télécharger dès à présent sur le PlayStation Store PC. 15/02/2008, 1947 Patapon les Boss en vidéos Pour cette nouvelle salve de vidéos de Patapon, Sony Computer Entertainment dévoile quelques uns des Boss qu'on rencontrera dans le jeu. 12/02/2008, 1828 Patapon du rythme et des couleurs Jamais maladroit lorsqu'il s'agit de faire parler de ses produits, Sony Computer Entertainment distille de nouvelles images de Patapon. 22/01/2008, 1749 Patapon arrive en Europe Sony Computer Entertainment vient de mettre à jour son planning et dévoile la date de sortie de Patapon en Europe. 15/01/2008, 1617 Patapon le rythme dans la peau Sony Computer Entertainment profite du calme plat qui règne dans l'actualité vidéoludique pour lâcher de nouveaux clichés colorés de Patapon. 04/01/2008, 1135 TGS 07 > Patapon Entre jeu de rythme, de réflexion voire même de stratégie, Patapon fait office d'OVNI au TGS 07. 22/09/2007, 2058
Lalégende de la Princesa. Cette section du Guide Far Cry 6 est consacrée à la chasse au trésor intitulée "La légende de la Princesa". Vous trouverez ici le cheminement complet de cette mission ainsi que des informations sur les récompenses obtenues. Rendez-vous sur la presqu'île située au nord-ouest de la ferme des Montero et lisez leDans une avant-première exclusive, nous avons pu jeter un coup d’œil sur les caractéristiques, l’atmosphère et la mise en scène de la nouvelle simulation de Formule 1 et nous sommes extrêmement enthousiastes. Je vais vous dire ce que je pense Alpine fait trop peu de progrès pour être une équipe d’usine. Et Ferrari n’arrive que rarement à se développer efficacement en deuxième partie de saison. Red Bull ? Ah, je changerais bien des choses, mais personne ne me le demande. Et je ne parle même pas d’Aston Martin ! Des décisions erronées à perte de vue ! Et de toute façon ! Alors pourquoi ne pas faire mieux, au lieu de râler comme ça, pensez-vous probablement. Ah, quelle chance que F1 Manager 2022 arrive bientôt. Les fans passionnés comme moi pourront enfin se retrousser les manches et montrer aux chefs d’équipe de F1 dans le paddock comment faire les choses correctement! Un package de licences plein à craquerFille à tout faireUne semaine dans la vie d’un manager de F1Mardi – Plus que 5 jours avant la courseJeudi – Encore 3 jours avant la courseL’action de course et l’étendue surprennent positivement Un package de licences plein à craquer F1 Manager 2022 est publié sous licence officielle par les détenteurs des droits. Vous pouvez donc vous attendre à voir toutes les équipes, de A comme Aston Martin à W comme Williams en passant par M comme McLaren, y compris les visages des pilotes que vous avez l’habitude de voir à la télévision. La bande-annonce en donne déjà un avant-goût. Vous ne pouvez cependant pas créer votre propre équipe, ce qui est dommage. Vous devez donc choisir l’une des dix écuries de course au lieu de pouvoir mener la vôtre au succès. Les connaisseurs se sentiront tout de suite à l’aise avec les graphismes, la police de caractères utilisée pour les textes et les insertions télévisées, car l’ensemble de la présentation correspond au modèle réel. Cette crédibilité profite surtout aux courses! Au cours de la saison, vous allez parcourir les 22 circuits officiels du Championnat du monde de Formule 1 2022. Nous avons également demandé aux développeurs comment ils allaient gérer les éventuelles annulations dues à la pandémie, par exemple si le Canada était éliminé et que la Turquie reprenait le flambeau. La course sera-t-elle ajoutée pour les acheteurs du jeu ? Nous n’avons pas encore de réponse concrète à cette question. Dans ce cas, on travaillerait en étroite collaboration avec les responsables et on chercherait une solution. Fille à tout faire En tant que manager, votre quotidien tourne naturellement autour d’une chose le succès, dans l’environnement hautement compétitif de la Formule 1. Vous ne voulez pas seulement participer, vous ne voulez pas seulement gagner, vous voulez dominer tout le peloton à votre guise. Ce n’est que lorsque les deux coupes du monde accueillent les visiteurs dans le foyer de votre siège d’équipe que vous pouvez vous taper sur l’épaule avec satisfaction et commencer à planifier la saison suivante. Contrairement à F1 2021, vous n’êtes pas au volant de la voiture, mais vous êtes responsable de tout ce qui se passe autour, des finances à la stratégie pendant les courses en passant par la recherche. Parce que la concurrence ne dort pas si vous entrez dans la catégorie reine du sport automobile et que vous voulez gagner, vous devez vous attendre à une concurrence féroce. Il ne s’agit pas seulement d’avoir les pilotes les plus rapides sur la piste, mais aussi de former l’équipe la plus efficace en coulisses. À quoi ressemblera votre quotidien dans F1 Manager 2022 ? Au lieu de vous donner une liste de choses à faire, nous avons demandé à Bodo Barsch, pêcheur professionnel passionné et nouveau manager de Red Bull Racing, de tenir un journal de bord exclusif dans lequel il vous fera vivre le jeu de près. Il vous décrit maintenant les caractéristiques de gameplay qui vous attendent, sans fard et à fleur de peau. Monsieur Barsch, allez-y ! Une semaine dans la vie d’un manager de F1 Lundi – Plus que 6 jours avant la course de Melbourne Lorsque le réveil sonne sur ma table de nuit, je suis déjà assis dans mon bureau. Je n’ai pas le temps de dormir. Le week-end de course à Melbourne approche et je dois encore m’occuper de nombreuses choses importantes. Tout d’abord, je fais le point sur l’écran d’accueil. Où se situe mon équipe au classement des constructeurs ? Quels sont les événements à venir ? Quelles sont les pièces qui vont bientôt arriver sur la voiture ? Trois e-mails non lus attendent d’être lus dans ma boîte aux lettres. F1 Manager 2022 offre une interface bien structurée avec un look authentique de Formule 1 Dès la première nouvelle, un rare sourire s’affiche sur mon visage. Théo Pourchaire a gagné la course de Formule 2 à Djeddah. Ce garçon va devenir quelqu’un ! Heureusement que je l’ai intégré à notre programme de promotion des jeunes talents. Si ce jeune homme passe un jour en Formule 1, il roulera chez nous et nous récolterons alors les fruits de son travail de développement ! C’est donc une bonne chose que cette partie fasse également partie de mes tâches dans le jeu. Outre la Formule 2, la Formule 3 m’est même ouverte pour le scouting de talents. Mais le deuxième e-mail fait aussitôt disparaître mon sourire. Un sponsor n’est pas satisfait de nos résultats en Arabie Saoudite et menace de partir pour une équipe concurrente. La pression augmente donc, car la nouvelle limite de coûts, en vigueur depuis la saison 2022, est également présente dans le jeu. En Australie, nous devons livrer la marchandise, sinon cela creusera un trou dans la caisse de l’équipe ! Sponsors, tableaux financiers et aussi la nouvelle limite de coûts nous sommes chargés de faire tourner la boutique Et cela entraînerait une kyrielle de problèmes. Les finances sont également sous ma responsabilité et ont un impact sur tous les domaines de l’équipe. Si le porte-monnaie est vide, je ne peux plus payer Verstappen, qui n’est pas vraiment bon marché, vu la quantité de Red Bull qu’il boit. Il se peut que je doive remplacer Perez par un pilote n°2 moins cher la saison prochaine. Le mieux serait que je m’occupe assez tôt des discussions contractuelles avec d’autres pilotes. En lisant le troisième mail, je tombe presque de ma chaise. Le nouvel aileron avant n’arrivera qu’à Imola. Oui, temps de règne, Zefix nochamoal ! Ce n’est pas possible. Je passe le reste de la journée à passer des coups de fil et à trouver un coupable. Mardi – Plus que 5 jours avant la course Je me rends personnellement à l’usine pour voir ce qui ne va pas avec l’aile avant. Apparemment, la structure en carbone n’est pas assez résistante et a tendance à se briser sous l’effet de fortes contraintes. Finalement, c’est encore une fois de ma faute, car je voulais absolument la mise à jour un week-end de course plus tôt et j’ai accepté de perdre en qualité. Nous devons rassembler la mécanique, l’aérodynamique, les ingénieurs de course et même l’équipe des stands. Nous avons donc même le plus petit rouage sous notre contrôle. » src= » » width= »2048″ height= »1152″ /☻ A-t-on encore des mots ?! Pourquoi est-ce que je paie tout ce personnel coûteux ? Tous les mécaniciens, ingénieurs et analystes devraient pouvoir anticiper ce genre de choses. Maintenant, l’aileron avant va être remis en production et non seulement cela prendra plus de temps, mais en plus cela coûtera plus cher. Jeudi – Encore 3 jours avant la course Mercredi, j’avais rendez-vous chez le dentiste et j’ai été hors d’état de nuire toute la journée. Je préfère vous épargner les détails à ce stade. Mais jeudi, j’étais de retour au bureau avec une grosse mâchoire et je me suis penché sur la stratégie de course pour le week-end à venir. Je commence toujours par me faire une idée d’ensemble. Après tout, on n’a jamais fini d’apprendre. Outre les données historiques de la course, je m’intéresse surtout aux prévisions météorologiques et à l’état de l’asphalte. Ces deux éléments ont un impact important sur les performances des voitures et je dois donc en tenir compte dans la planification de l’événement. Les premières données sur la course sont un bon point de départ pour ensuite entrer dans le détail de la stratégie de course. Ensuite, on entre dans le vif du sujet. Je dois connaître le circuit d’Albert Park aussi bien que mon propre jardin pour mener les gars et les filles du garage au succès. Combien de virages y a-t-il ? Quels sont les mélanges de pneus disponibles ? Quels tronçons conviennent à notre voiture, lesquels moins ? Car pour une voiture de Formule 1, il s’agit toujours de faire des compromis Rapide comme une flèche sur les lignes droites ou puissante dans les virages ? Celui qui se concentre très tôt sur un réglage peut aussi orienter tout son travail de développement à long terme et en profiter à l’avenir. A court terme, je décide de concentrer les réglages de la voiture sur les secteurs 1 et 2, c’est-à -dire les passages à haute vitesse à Melbourne. Il nous manque encore un peu d’appui par rapport à nos concurrents du milieu du peloton, ce qui nous permettra peut-être de les dépasser dans les lignes droites grâce à l’aide au dépassement DRS. Ceux qui ne s’intéressent pas à la piste ont plus de chances de se retrouver en queue de peloton dans F1 Manager 2022 Dimanche – La course est arrivée Pour tous les événements de course, qu’il s’agisse des essais du vendredi, des qualifications du samedi ou de la course du dimanche, j’ai le choix, en tant que manager, d’assister à l’action sans interruption en temps réel ou d’avancer le temps à plusieurs vitesses, voire de faire une pause. C’est confortable et cela me permet d’adapter le rythme de jeu à mes préférences. Les essais du vendredi semblaient confirmer notre focalisation sur une vitesse de pointe élevée, mais le samedi, nous avons soudain été impitoyablement distancés lors des qualifications. Apparemment, le temps plus froid a fait chuter la température de l’asphalte, ce qui nous a fait perdre de l’adhérence. J’aurais dû faire plus attention ! Au final, nos gars se sont retrouvés 13e et 17e, une honte, je peux le dire ! Je n’ai pas pu regarder Toto Wolff dans les yeux quand nous nous sommes croisés plus tard dans le paddock. Même pendant la course, nous pouvons encore adapter la stratégie. C’est particulièrement important en cas de safety car ou de changement de météo. Mais la suite, je vous la raconterai volontiers en détail ! Il fallait voir cette course ! Dès le départ, Verstappen s’est d’abord emparé de Vettel et Ricciardo, directement dans le premier virage, zack, comme on le connaît de lui. Perez a eu un peu plus de mal dans le trafic, c’est pourquoi j’ai adapté la durée de son relais en cours de course et modifié la composition des pneus pour l’arrêt au stand. Je l’ai mis en pneus durs pour qu’il puisse rouler plus longtemps et peut-être gagner des positions à l’arrière. Soudain, Albon et Schumacher se percutent. Ce n’est pas de la tôle froissée, mais c’est le chaos, car la voiture de sécurité entre en piste. Toutes les voitures rentrent dans les stands, nous aussi nous faisons rentrer Verstappen et lui chaussons des pneus tendres frais. Nous laissons Perez dehors, il n’a bien sûr aucune raison de changer de pneus en raison de son arrêt en pneus durs et s’en sort nettement mieux. La présentation graphique des courses est étonnamment bonne pour un jeu de gestion et convainc surtout par des réglages de caméra réussis A la fin de la phase de safety-car, nos gars sont 5e et 6e, juste derrière, mais Verstappen est derrière Perez à cause de l’arrêt. Situation stupide, car en fait nous aurions préféré avoir Max devant. Je me racle donc la gorge, j’attrape le micro et j’envoie un message radio depuis les stands changez de position ! Aussitôt dit, aussitôt fait, il n’y a pas de discussion chez nous. Celui qui ne fonctionne pas comme un joueur d’équipe doit partir. J’aurais aussi pu demander d’économiser du carburant ou d’accélérer, comme je l’entendais. De telles directives d’équipe sont désagréables, mais elles doivent être prises de temps en temps. Verstappen s’est emparé de Sainz lors d’une fin de course passionnante, mais Hamilton, Russell et Leclerc sont déjà partis. Une quatrième place devrait tout de même satisfaire notre sponsor. Dans deux semaines, à Imola, nous ferons encore mieux, j’y veillerai, comptez sur moi! L’action de course et l’étendue surprennent positivement Merci, Monsieur Barsch, pour votre description ! Voilà , nous espérons que vous avez maintenant une bonne idée de ce qui vous attend en tant que manager dans le cadre de votre activité. Le développeur Frontier nous a montré F1 Manager 2022 en détail, mais nous n’avons malheureusement pas encore pu y jouer nous-mêmes. Néanmoins, nous pouvons d’ores et déjà dire que les nombreux petits détails et l’action de course de ce jeu de simulation nous ont agréablement surpris. Cela commence par le règlement appliqué avec une précision méticuleuse, comme par exemple la limite des coûts ou les quotas d’heures réglementés dans la soufflerie, et s’étend jusqu’à l’importante promotion de la relève et la mise en scène des courses. Plus nous obtenons de bons résultats au championnat, moins nous avons d’heures à disposition pour utiliser la soufflerie l’année suivante. Cela doit surtout profiter aux petites équipes pour rattraper le retard sur les grandes. Notre point fort et un bon exemple au lieu d’engager simplement un doubleur quelconque pour le rôle de l’ingénieur de course, le développeur Frontier a fait venir les vrais collaborateurs devant le micro pour chaque écurie. Chez Ferrari, c’est donc Riccardo Adami qui vous parle à l’oreille, chez Mercedes, c’est le calme habituel de Peter Bonnington, et ainsi de suite. Pour les fans, c’est un gros plus pour l’ambiance ! Les courses sont très réalistes grâce à une transposition à l’échelle 11 des réglages réels des caméras de télévision. A cela s’ajoute un effet de flou subtil mais très efficace lors des mouvements de caméra dynamiques. Au final, F1 Manager 2022 n’a même pas à rougir de F1 2021 au premier coup d’œil. En y regardant de plus près, on se rend vite compte que la qualité graphique n’est pas la même. Les voitures elles-mêmes ont encore l’air de rouler sur des rails, alors qu’en arrière-plan, elles ne font que des calculs sur la base de nos décisions. D’ici la sortie du jeu, les animations maladroites des voitures devraient être améliorées. En ce qui concerne le niveau de difficulté, les développeurs ont répondu à nos questions en nous disant que vous pouvez même être expulsé de votre équipe si vous faites du mauvais travail. Dans ce cas, ce n’est évidemment pas le game over qui s’impose, mais vous devez d’abord rétablir votre réputation auprès d’une personne de l’arrière-ban. Mais bon, la Formule 1 a toujours été un défi difficile à relever! Conclusion de la rédaction Je ne suis généralement pas un grand fan des jeux de gestion. C’est sans doute surtout parce que je crains les interfaces utilisateur surchargées et que je n’ai que peu d’affinités avec le football sacrilège !. Mais j’ai de l’essence dans le sang depuis mon plus jeune âge et la lutte pour le dernier dixième de seconde me donne plus de sueurs froides qu’un penalty à la 93e minute. C’est pourquoi, après mes premières impressions de F1 Manager 2022, je suis à la fois soulagé et surpris. Rien dans ce jeu ne ressemble à un tableau Excel jouable. L’interface avec les différents onglets en bas de l’écran semble à première vue bien pensée et la gestion de l’écurie s’étend vraiment jusqu’aux plus petits domaines, auxquels je ne m’attendais pas du tout lors de l’annonce. C’est surtout le scouting des jeunes pilotes et la mise en scène des courses étonnamment riches en action qui m’ont donné envie d’en savoir plus. Ce jeu pourrait me coûter plusieurs semaines de ma vie ! J’ai maintenant très envie de me rendre dans le paddock et de voir si F1 Manager est aussi amusant à jouer sur le long terme qu’il n’y paraît. Car le jeu n’a pas seulement le potentiel d’un très bon jeu de gestion. Il a même tout ce qu’il faut pour devenir l’expérience de Formule 1 la plus complète sur PC depuis de nombreuses années, car contrairement aux jeux de course Codemasters, il ne simule pas seulement la course, mais aussi tout ce qui l’entoure. Et dans la plupart des sports, ces éléments sont aussi importants que dans la Formule 1. Lestarifs de chacune de ces visites sont de 6€/ adulte, de 3€/enfant et une gratuité s'applique aux enfants de moins de 12 ans. Nous vous conseillons de réserver votre visite à l'avance, quelque soit la visite choisie, afin de vous assurer une place à la date souhaitée ! Une fois votre réservation faite, rendez-vous le Jour J devant l'Office de tourisme 10 minutes avant le début Accueil •Ajouter une définition •Dictionnaire •CODYCROSS •Contact •Anagramme rythme dans la peau — Solutions pour Mots fléchés et mots croisés Recherche - Solution Recherche - Définition © 2018-2019 Politique des cookies. KqGQEiR.