24communes ont Ă©tĂ© créées entre 1665 et 1965 (voir l’arbre gĂ©nĂ©alogique des communes). Certaines d’entre elles ont leur Ă©tat civil qui commence avant la date de leur crĂ©ation parce qu’elles ont existĂ© comme quartier ou section avant d’ĂȘtre Ă©rigĂ©es en commune. Depuis l’édit royal de juin 1776, les colonies (par la suite dĂ©partements d’outre-mer) ont obligation de

DĂ©finition de la gĂ©nĂ©alogieLa gĂ©nĂ©alogie du grec ÎłÎ”ÎœÎ”ÎŹ genea, gĂ©nĂ©ration » et λγο logos, connaissance » est dĂ©finie comme la Science qui a pour objets la recherche de l’origine et l’étude de la composition des familles. En plus de son intĂ©rĂȘt historique, la gĂ©nĂ©alogie joue un rĂŽle encore important dans la recherche des hĂ©ritiers et la dĂ©termination des droits de succession ». sourceC’est donc la pratique qui a pour objet la recherche de la parentĂ© et de la filiation des de la gĂ©nĂ©alogie L’origine Longtemps la gĂ©nĂ©alogie Ă©tait la science des puissants et notamment celles des dieux grecs. On pourra notamment Ă©voquer la ThĂ©ogonie », une Ɠuvre du poĂšte grec HĂ©siode VIIIe siĂšcle av. qui joue un rĂŽle fondateur dans l’élaboration de la mythologie grecque. Le terme thĂ©ogonie » vient du nom ΘΔ / theĂł » qui signifie dieu » et du verbe ÎłÎ”ÎœÎœÎŹ / gennĂĄĂŽ » qui signifie engendrer ». Il s’agit donc d’un rĂ©cit de l’origine des dieux. Certains considĂšrent cette Ɠuvre comme l’une des Ɠuvres fondatrices de la gĂ©nĂ©alogie au service du droit canon et des souverainsA partir du XIIĂšme siĂšcle en Europe de l’Ouest, les souverains, l’aristocratie et la noblesse utilisĂšrent la gĂ©nĂ©alogie principalement Ă  des fins effet, les rois, Ă  l’instar des Grecs, Ă©taient considĂ©rĂ©s comme les descendants des Dieux sur Terre. La gĂ©nĂ©alogie pouvait alors permettre de lĂ©gitimer un souverain sur un trĂŽne au vu de sa France, la gĂ©nĂ©alogie s’est intĂ©ressĂ©e d’abord aux dynasties et Ă  l’ordre de succession dans chacune d’entre elles. On pourra citer les dynasties suivantes – Dynastie des MĂ©rovingiens 448 /742– Dynastie des Carolingiens 751 / 979– Dynastie des CapĂ©tiens 987 / 1322.Il est intĂ©ressant de souligner que cette dynastie est issue d’Hugues CAPET, Hugues » signifiant chef » et Capet» provenant du latin caput » qui signifie tĂȘte ». C’est cette dynastie qui rĂ©gnera sans interruption jusqu’à Louis la gĂ©nĂ©alogie prend tout son sens dans le nom mĂȘme de la tĂȘte de la lignĂ©e.– Dynastie des Valois 1328 /1575– Dynastie des Bourbons 1594 / 1825 La gĂ©nĂ©alogie Ă©tait devenue un enjeu politique, la loi salique de 1328 imposant en France la succession de mĂąle en mĂąle. Une fois Ă©teinte une branche issue du mĂȘme tronc, il fallait passer Ă  une autre branche. L’Eglise vĂ©rifiait les descendances bibliques au vu des la gĂ©nĂ©alogie Ă©tait Ă©galement utilisĂ©e par les gens aisĂ©s pour Ă©tablir la noblesse de sang d’un rappellera qu’en France, devaient payer la Taille » ceux qui n’avaient pas de gĂ©nĂ©alogie, c’est-Ă -dire les membres du tiers-Ă©tat les roturiers.Des enquĂȘtes de noblesse furent entreprises Ă  plusieurs pĂ©riodes afin de contrĂŽler le bien-fondĂ© d’un but pouvait ĂȘtre multiple selon les cas. Pour obtenir certains privilĂšges il fallait garantir par des preuves matĂ©rielles que l’on n’était pas roturier – Une ordonnance parue en 1666 impose par exemple aux nobles de prouver leur rang sur quatre gĂ©nĂ©rations afin d’obtenir un grade particulier dans l’armĂ©e.– Les femmes devaient Ă©galement parfois justifier d’une certaine descendance pour accĂ©der Ă  des ordres de l’Eglise tels que celui de Malte.– Prouver son origine noble, son extraction », pouvait aussi permettre de rentrer au service du roi. En fonction du nombre de races nobles », on pouvait prĂ©tendre Ă  tel ou tel titre Ă  partir de trois races » correspondant Ă  quatre degrĂ©s minimum.La gĂ©nĂ©alogie pouvait Ă©galement servir Ă  justifier d’un droit de propriĂ©tĂ© sur des terres et des rentes qui y Ă©taient liĂ©es, ce qui nous rapproche de la gĂ©nĂ©alogie moderne sourceEnfin, la gĂ©nĂ©alogie Ă©tait Ă©galement utilisĂ©e par l’Eglise, pour vĂ©rifier la conformitĂ© de certains actes tels que le mariage selon diffĂ©rentes rĂšgles comme l’interdiction de l’endogamie au sens de la consanguinitĂ©.De nos jours, la profession a Ă©voluĂ© diffĂ©remment 
La gĂ©nĂ©alogie successorale au service du Code CivilLes gĂ©nĂ©alogistes successoraux exercent leur activitĂ© depuis plus de 170 ans. À la diffĂ©rence des gĂ©nĂ©alogistes familiaux que nous Ă©tudierons ci-aprĂšs, qui recherchent les ancĂȘtres, les successoraux doivent retrouver les hĂ©ritiers d’une personne sous le rĂšgne de Charles X, au cours de l’annĂ©e 1830, que naĂźt le premier cabinet mort d’un client qui n’avait laissĂ© aucune disposition testamentaire contraint un notaire Ă  rechercher ses hĂ©ritiers inconnus. Ce dernier dut alors parcourir la France entiĂšre pour rĂ©unir les indispensables preuves piĂšces d’état civil, actes de notoriĂ©tĂ©, etc. permettant d’établir la dĂ©volution successorale de la personne dĂ©cĂ©dĂ©e de cujus et de retrouver l’ensemble des hĂ©ritiers Ă  qui sera dĂ©voilĂ©e l’origine de leur hĂ©ritage. AprĂšs plus d’un an de recherches fastidieuses, ce notaire et son collaborateur parviennent enfin Ă  dĂ©terminer l’existence de tous les hĂ©ritiers. Le notaire explique alors Ă  ces derniers, rĂ©unis dans son bureau, qu’il a avancĂ© des sommes importantes et a passĂ© beaucoup de temps pour les pu se faire rembourser leurs frais, les deux hommes eurent l’idĂ©e de fonder leur propre cabinet de gĂ©nĂ©alogie successorale. Ainsi naquit le premier cabinet
Source Le Larousse de la GĂ©nĂ©alogieAvant la Seconde Guerre mondiale, on ne recensait que quatre Ă©tudes pratiquant la gĂ©nĂ©alogie successorale. Aujourd’hui, il existe prĂšs de 140 cabinets spĂ©cialisĂ©s dans ce domaine trĂšs particulier. Les effets conjuguĂ©s des profondes mutations sociologiques qui ont modifiĂ© la famille cellulaire dĂ©veloppement des unions libres, baisse des mariages, augmentation des divorces, multiplication des familles recomposĂ©es, de l’accroissement de la mobilitĂ© gĂ©ographique, des migrations internationales, de l’allongement de la durĂ©e de vie humaine, du cĂ©libat et de l’isolement des personnes ĂągĂ©es, contribuent Ă  solliciter davantage l’expertise des gĂ©nĂ©alogistes pour retrouver des hĂ©ritiers inconnus et/ou fixer les dĂ©volutions successorales, c’est-Ă -dire en assurer l’ champs d’investigations des gĂ©nĂ©alogistes s’élargissent dans l’espace au profit de recherches de plus en plus complexes et d’hĂ©ritiers Ă©loignĂ©s tant par des degrĂ©s de parentĂ© lointains que par des liens affectifs ou gĂ©ographiques distants voire inexistants. » . sourceDiffĂ©rence entre le GĂ©nĂ©alogiste familial et professionnel Il convient de bien distinguer les gĂ©nĂ©alogistes effectuant des recherches Ă  titre personnel, Ă  titre professionnel pour le compte de particuliers et enfin les gĂ©nĂ©alogistes successoraux, comme ceux faisant partie du Groupe Terquem DĂ©veloppement et travaillant pour le compte de gĂ©nĂ©alogiste familial et hĂ©raldiqueLa gĂ©nĂ©alogie familiale permet de reconstituer son histoire familiale et de connaĂźtre ses racines en remontant le temps et les gĂ©nĂ©rations. C’est celle qui permet d’établir son arbre gĂ©nĂ©alogique ».La vocation premiĂšre du gĂ©nĂ©alogiste familial est donc de reconstituer, en totalitĂ© ou partiellement, l’histoire d’une famille en remontant le temps Ă  partir d’une personne vivante qui constitue le point de dĂ©part de ses gĂ©nĂ©alogiste familial Un particulier peut Ă©tablir lui-mĂȘme sa gĂ©nĂ©alogie ou celle d’un tiers, en apprenant les rĂšgles de base et en effectuant ses recherches lui-mĂȘme. Il s’agit ici d’un amateur voulant retracer l’origine de sa famille ou un pan d’histoire familiale ou locale ou particulier qui ne dispose ni du temps nĂ©cessaire, ni des connaissances adĂ©quates pour faire les recherches, peut faire appel Ă  un gĂ©nĂ©alogiste familial. Ce dernier peut prendre en charge les recherches d’un particulier ou simplement une partie si par exemple le lieu de recherche est trop Ă©loignĂ©.Ce type de gĂ©nĂ©alogiste, apparu en France depuis quelques annĂ©es, a fait de sa passion un travail. Dans les faits, le gĂ©nĂ©alogiste familial offre une gamme de services trĂšs Ă©tendue permettant de rĂ©pondre Ă  la plupart des demandes Ă©manant d’une clientĂšle privĂ©e aux aspirations les plus variĂ©es de la recherche d’un document Ă  la reconstitution exhaustive d’une gĂ©nĂ©alogie familiale sur plusieurs gĂ©nĂ©rations, en passant par l’organisation de cousinades » ou l’historique d’une professionnel de la gĂ©nĂ©alogie peut Ă©galement ĂȘtre amenĂ© Ă  procĂ©der Ă  des recherches documentaires permettant de solutionner un problĂšme la diffĂ©rence d’une recherche d’ancĂȘtres sur internet, le professionnel de la gĂ©nĂ©alogie familiale va Ă  la source et consulte les documents originaux conservĂ©s dans les services d’archives, sans jamais se contenter des informations qui circulent sur les sites de gĂ©nĂ©alogie en ligne. Les recherches sont effectuĂ©es partout en France mais aussi Ă  l’étranger. sourceCes gĂ©nĂ©alogistes intervenant pour une clientĂšle privĂ©e ont une simple obligation de moyen mais pas avec une obligation de gĂ©nĂ©alogiste successoral professionnelLa gĂ©nĂ©alogie d’un individu peut ĂȘtre rĂ©alisĂ©e par un gĂ©nĂ©alogiste professionnel mandatĂ© par un professionnel, pour identifier des ancĂȘtres sur plusieurs tant que professionnel, le Groupe Terquem DĂ©veloppement, Ă  travers ses cinq cabinets composĂ©s de onze succursales et avec ses nombreux correspondants Ă  l’étranger effectue une prestation de recherche gĂ©nĂ©alogique nĂ©cessaire pour Ă©tablir une succession pour un notaire aprĂšs un dĂ©cĂšs gĂ©nĂ©alogie successorale. L’activitĂ© du gĂ©nĂ©alogiste successoralD’aprĂšs le syndicat des GĂ©nĂ©alogistes de France, dont le Groupe Terquem DĂ©veloppement fait partie, elle consiste Ă  – Identifier et localiser toute personne ayant des droits Ă  revendiquer qu’elle ne connait pas ou qu’elle est incapable d’établir sur un ou plusieurs biens d’un patrimoine.– Établir sur la base de recherches prĂ©cises, un tableau gĂ©nĂ©alogique certifiĂ© qui engage sa responsabilitĂ© juridique et financiĂšre et qui permettra au notaire de rĂ©diger l’acte de notoriĂ©tĂ© nĂ©cessaire Ă  la reconnaissance des droits des hĂ©ritiers.– ReprĂ©senter l’hĂ©ritier dont les droits sont Ă©tablis et s’assurer que ces droits sont dĂ©fendus au mieux, en valorisant et en optimisant les actifs tout au long de la procĂ©dure du rĂšglement de la succession. source Quelques chiffresChaque annĂ©e en moyenne 518 000 personnes dĂ©cĂšdent sur le territoire français source INSEE.Environ 10000, fortes d’un patrimoine significatif, ne laissent ni dispositions testamentaires claires avec des personnes connues ou localisables, ni hĂ©ritiers proches. C’est dans ces cas qu’un gĂ©nĂ©alogiste successoral sera saisi. Au niveau national, plus de 83% des successions sont rĂ©glĂ©es au profit de conjoints ou de descendants alors que 80% des successions traitĂ©es par des gĂ©nĂ©alogistes sont rĂ©glĂ©s au profit de parents plus Ă©loignĂ©s. En outre, les gĂ©nĂ©alogistes dĂ©couvrent, en moyenne, 9 hĂ©ritiers par succession c’est-Ă -dire 3 fois plus que les successions classiques traitĂ©es par le notaire. » sourceLa saisine du gĂ©nĂ©alogisteDans la majoritĂ© des cas, c’est le notaire liquidateur de la succession qui confie sa mission de recherche d’hĂ©ritiers au gĂ©nĂ©alogiste successoral. Le notaire se doit en effet d’établir une Ă©bauche d’arbre gĂ©nĂ©alogique et d’y mentionner les hĂ©ritiers lorsque ses recherches ne lui permettent pas d’aboutir ou d’ĂȘtre certain du rĂ©sultat, le notaire peut et doit Ă©galement avoir recours au gĂ©nĂ©alogiste successoral. En effet, certains points techniques nĂ©cessitent la vĂ©rification par un professionnel afin que le notaire, qui engage sa responsabilitĂ© professionnelle Ă  dĂ©faut de vĂ©rification, puisse ĂȘtre certain de ce qu’il indique dans l’acte authentique qu’il reçoit acte de notoriĂ©tĂ© successorale notamment, reprenant la liste des hĂ©ritiers et lĂ©gataires du dĂ©funt.Enfin, il faudra rappeler que la gĂ©nĂ©alogie n’est pas une science exacte mais que le gĂ©nĂ©alogiste professionnel doit mettre en Ɠuvre tous les moyens possibles pour aboutir sur la recherche qu’on lui a confiĂ©e obligation de moyen. Il engage sa responsabilitĂ© et est assurĂ© tant concernant sa responsabilitĂ© civile, que pour la dĂ©tention des fonds. Le Groupe Terquem DĂ©veloppement communique annuellement la copie de ses contrats d’assurances dans la plus grande transparence afin que chacun puisse vĂ©rifier le sĂ©rieux de l’entreprise lien vers les assurances sur notre site.L’arbre gĂ©nĂ©alogiqueLa reprĂ©sentation graphique des individus et de leurs liens de parentĂ© se prĂ©sente communĂ©ment sous la forme d’un schĂ©ma arborescent Ă  partir d’un individu racine ancrĂ© en bas de page et les individus parents dans les branches » et feuilles », c’est pourquoi un tel schĂ©ma est communĂ©ment appelĂ© arbre gĂ©nĂ©alogique. Cette mise en page est surtout adaptĂ©e pour visualiser une gĂ©nĂ©alogie ascendante source .L’arbre gĂ©nĂ©alogique familial » est Ă  diffĂ©rencier du tableau successoral » remis au Notaire qui n’indique que les faits juridiques pertinents pour prouver la qualitĂ© des hĂ©ritiers et non l’ensemble des recherches que le gĂ©nĂ©alogiste successoral a dĂ» faire pour aboutir Ă  ce rĂ©sultat
Arbrede descendance: Albert Marin VAVASSEUR: ClĂ© individu racine : ClĂ© individu: Afficher les dĂ©tails : Nombre de gĂ©nĂ©rations : Largeur de boĂźte % Albert Marin VAVASSEUR ‎(I35)‎ 1. Virginie Juliette AUBRY ‎(I36)‎ Nombre d'enfants: 1 : Juliette RenĂ©e VAVASSEUR ‎(I14)‎ Naissance Dim 2 Mai 1909 -- SavignĂ© l'Ă©vĂšque, Sarthe, Pays-de-la-Loire,
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\n arbre généalogique ile de la reunion
Recherchezvos ancĂȘtres sur la premiĂšre base de donnĂ©es gĂ©nĂ©alogique europĂ©enne. François-Xavier DAVID-FOURRAGE (propriĂ©taire de l'arbre) 42 967 individus ; DerniĂšre mise KQcuJ.
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